Lamarque de Dieu se reconnaßt à ses fruits : « charité, joie, paix, longanimité, serviabilité, bonté, confiance dans les autres, douceur, maßtrise de soi » ( Gal 5, 22). Mais on ne peut

"[
] D’ailleurs, qui sait si ce n’est pas pour une occasion comme celle-ci que tu es parvenue Ă  la royautĂ© ?" Esther "Dieu appelle chacun Ă  utiliser ses dons et sa passion, mais tous ne dĂ©crochent pas le tĂ©lĂ©phone." Lorsque vous cherchez Ă  connaĂźtre l’appel de Dieu pour votre vie, il vous faut suivre l’exemple d’ ne vous recrute pas sans vous adresser un appel. Il appelle chacun Ă  utiliser ses dons et sa passion, mais tous ne dĂ©crochent pas le tĂ©lĂ©phone. Pour entendre, il vous faut Ă©couter. Vous devez faire silence et passer du temps seul Ă  seul avec Dieu. Lorsque MardochĂ©e fit rapporter Ă  Esther que les Juifs seraient exterminĂ©s, il lui dit en substance, dans Esther "Ne t’imagine pas que tu peux simplement ignorer le danger qui nous guette. Je sais que c’est dur, mais c’est ta destinĂ©e. Dieu t’a placĂ©e lĂ . Ce n’est pas un hasard si tu es juive et reine de la Perse." Il est important de poursuivre la lecture et de voir la rĂ©ponse d’Esther Ă  MardochĂ©e en Esther "Va rassembler tous les Juifs qui se trouvent Ă  Suse. JeĂ»nez Ă  mon intention, sans manger ni boire pendant trois jours [
]. Moi aussi je jeĂ»nerai de mĂȘme avec mes servantes. Dans ces conditions, j’irai chez le roi malgrĂ© la loi." Esther savait qu’en se prĂ©sentant devant le roi elle risquait la mort. Elle devrait tout jeter dans la balance pour le convaincre sa beautĂ©, son intelligence et sa personnalitĂ©. Mais avant d’aller le trouver, elle mit trois jours Ă  part pour jeĂ»ner et prier. Lorsque vous cherchez Ă  connaĂźtre l’appel de Dieu pour votre vie, il vous faut suivre l’exemple d’Esther. PremiĂšrement, rassemblez tout le soutien possible. Esther demanda Ă  MardochĂ©e et Ă  tous les Juifs de prier pour elle. De mĂȘme, invitez votre petit groupe Ă  vous soutenir dans la priĂšre. Si vous n’avez pas de petit groupe, c’est le moment d’en constituer un. DeuxiĂšmement, vous devrez passer beaucoup de temps seul avec Dieu. Je veux vous encourager Ă  programmer un temps de retraite avec le Seigneur. Que vous mettiez Ă  part une nuit, un week-end ou plus longtemps si c’est possible, vous n’entendrez pas l’appel de Dieu pour votre vie si vous ne passez pas du temps seul avec lui. Une action pour aujourd’hui Prenez le temps d’écouter Dieu et de comprendre ce qu’il attend de vous. A l’image d’Esther, passez du temps dans la priĂšre et dans le jeĂ»ne, Ă  l’écoute de sa volontĂ©. Vous serez Ă©tonnĂ© de dĂ©couvrir tout ce que Dieu a prĂ©vu pour votre vie. Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !
LappelĂ© objecte parfois son incapacitĂ©, sa pauvretĂ© ou sa jeunesse. Alors Dieu rassure et lĂšve la crainte, comme quand il dit Ă  MoĂŻse : "Je suis avec toi" (Ex 3, 12). Marie est la figure parfaite de celle qui accepte l’appel de Dieu et exprime sa disponibilitĂ© devant l’ange Gabriel : "Voici la servante du Seigneur ; que tout se
Aujourd'hui, nous allons enseigner les 5 signes pour savoir que vous avez un appel divin. L'une des tĂąches les plus difficiles Ă  accomplir est le travail du ministĂšre. Tout comme Paul et Barnabas ont Ă©tĂ© mis de cĂŽtĂ© pour l'Ɠuvre du seigneur dans le livre de Actes 1312 Pendant qu'ils servaient le Seigneur et jeĂ»naient, le Saint-Esprit dit SĂ©parez-moi Barnabas et Saul pour l'Ɠuvre Ă  laquelle je les ai appelĂ©s. Dieu a encore mis de cĂŽtĂ© certaines personnes et leur a donnĂ© la mission divine d'accomplir l'Ɠuvre du ministĂšre de qu'autrement, j'ai entendu tant de gens demander comment je sais que Dieu m'appelle Ă  travailler dans le ministĂšre ? Il y a tellement de maniĂšres ou de signes que vous verriez lorsque Dieu essaie de vous appeler dans le ministĂšre. Cependant, avant d'entrer dans ce domaine, il existe une sorte d'Ă©tat d'esprit que les gens doivent abolir Ă  propos des hommes qui sont appelĂ©s au ministĂšre. C'est la croyance de beaucoup de gens que ceux qui sont dans les Ɠuvres du seigneur ont Ă©tĂ© appelĂ©s dans une situation difficile et dĂ©vastatrice. L'Écriture dit dans le livre de Isaiah 4519 Je n'ai pas parlĂ© en secret, Dans un endroit sombre de la terre; Je n'ai pas dit Ă  la postĂ©ritĂ© de Jacob Cherchez-moi en vain » ; Moi, l'Éternel, je dis justice, je proclame ce qui est juste. Dieu n'appelle pas les gens Ă  la misĂšre ou Ă  la pauvretĂ©, Il a certainement de bons plans pour tous ceux qui ont Ă©tĂ© appelĂ©s Ă  faire l'Ɠuvre de une perception qui a empĂȘchĂ© de nombreuses personnes de rĂ©pondre Ă  l'appel divin. Une chose est cependant certaine, la vie ne sera plus la mĂȘme et les choses changeront. Il y a des sacrifices qu'un tel individu doit payer pour ĂȘtre un oracle de Dieu. Il existe diffĂ©rents ministĂšres. Ce n'est pas tout le monde qui a un appel divin serait un pasteur, pas un prophĂšte, un Ă©vangĂ©liste ou autre. Le livre de EphĂ©siens 411 Et il en donna quelques-uns, des apĂŽtres; et certains, des prophĂštes ; et certains, Ă©vangĂ©listes ; et certains, pasteurs et enseignants ; Pour le perfectionnement des saints, pour l'Ɠuvre du ministĂšre, pour l'Ă©dification du corps de Christ Les gens sont appelĂ©s dans diffĂ©rents ministĂšres. C'est une erreur doctrinale de penser qu'une fois que vous avez Ă©tĂ© appelĂ©, vous devez ĂȘtre appelĂ© pasteur. Dieu vous a peut-ĂȘtre appelĂ© Ă  opĂ©rer dans le ministĂšre des que soit le ministĂšre auquel Dieu vous a appelĂ©, vous aurez certainement besoin de signes pour savoir si Dieu a vraiment appelĂ©. Tout le monde ne verra pas le mĂȘme signe que MoĂŻse a vu lorsque Dieu l'a appelĂ© Ă  descendre en Égypte et Ă  dĂ©livrer les enfants d'IsraĂ«l de l' des choses que vous remarquerez lorsque vous avez un appel divin incluent RĂ©vĂ©lationLe moyen ou le signe le plus sĂ»r qui vous alerterait si vous avez un appel divin est la rĂ©vĂ©lation. Ce type de rĂ©vĂ©lation n'est pas un Ă©vĂ©nement qui a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© Ă  une autre personne. Dieu lui-mĂȘme se rĂ©vĂ©lera Ă  vous. Parfois, il se peut que vous vous voyiez dans les rĂȘves opĂ©rer dans une capacitĂ© assez diffĂ©rente et supĂ©rieure Ă  la capacitĂ© que vous exercez dans la vie vous pouvez vous voir imposer les mains aux malades, dĂ©livrer les gens du pouvoir de la servitude avec le nom de JĂ©sus. Et Dieu lui-mĂȘme pourrait vous rendre visite dans le rĂȘve sous la forme d'un ange. L'esprit de Dieu vous dirait ce que Dieu veut que vous fassiez et comment le avez un cadeau spĂ©cialIl n'y a pas d'homme créé par Dieu qui soit sans don. Dieu a créé l'homme et a dĂ©posĂ© quelque chose de spectaculaire dans chaque homme. Cependant, il y a des gens dont les dons sont au-delĂ  de la nature. Vous pouvez avoir le don de prophĂ©tie ou de vision. Cela signifie que vous pouvez prononcer un Ă©vĂ©nement qui ne s'est pas produit dans la rĂ©alitĂ© et que vous avez la capacitĂ© d'avoir une vision des choses qui doivent encore se cadeau de certaines personnes pourrait ĂȘtre le mot. Oui, l'esprit de Dieu est responsable des paroles. Cependant, certaines personnes sont bĂ©nies avec des mots que d'autres. Ils sont bĂ©nis avec des mots convaincants qui capteraient et maintiendraient l'attention de n'importe quel individu. Ces mots ne sont pas de simples mots prononcĂ©s, ils portent le pouvoir et le feu. Lorsque vous remarquez que vous faites certaines de ces choses confortablement, cela pourrait ĂȘtre un signe que Dieu vous des hommesParfois, Dieu parle Ă  travers ses serviteurs. Il y a des moments oĂč vous aurez une rĂ©vĂ©lation sur vous-mĂȘme. Le prophĂšte ou le pasteur vous dirait ceci dit le Seigneur Dieu de l'armĂ©e, je vous ai choisi pour travailler pour moi. Vous opĂ©rerez Ă  ce titre. Il ne faut pas se lasser de la voix des hommes quand ils nous le disent. Dieu agit de maniĂšre miraculeuse. La meilleure chose que nous puissions faire est de prier Dieu avec ferveur pour une confirmation de la de DieuBeaucoup de gens diraient que cela n'existe plus vraiment. Que ce soit ou non Ă  nouveau, je sais que Dieu parle toujours aux gens. L'ordination de Samuel au ministĂšre de ProphĂšte a Ă©tĂ© Ă©tabli par une voix directe de Dieu. 1 Samuel 35-10 Alors l'Éternel appela Samuel. Samuel rĂ©pondit Me voici. » Et il courut vers Eli et dit Me voici ; tu m'as appelĂ©." Mais Eli a dit Je n'ai pas appelĂ© ; retourne t'allonger. Alors il alla s'allonger. Le SEIGNEUR appela de nouveau Samuel ! Et Samuel se leva et alla vers Eli et dit Me voici ; tu m'as appelĂ©." Mon fils, dit Eli, je n'ai pas appelĂ© ; retourne t'allonger. Or Samuel ne connaissait pas encore l'Éternel. La parole de l'Éternel ne lui avait pas encore Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e. L'Éternel appela Samuel une troisiĂšme fois, et Samuel se leva, alla vers Eli et dit Me voici ; tu m'as appelĂ©." Alors Eli comprit que le SEIGNEUR appelait le garçon. Eli dit alors Ă  Samuel Va te coucher, et s'il t'appelle, dis 'Parle, Éternel, car ton serviteur Ă©coute.' » Samuel alla donc se coucher Ă  sa place. L'Éternel vint et se tint lĂ , appelant comme les autres fois Samuel ! Samuel ! » Alors Samuel dit Parle, car ton serviteur Ă©coute. »Lorsque vous entendez la voix du Seigneur vous dire Ă  plusieurs reprises de faire quelque chose, c'est un grand signe que Dieu appelle au ministĂšre.
Lessignes de l’alliance. GĂ©nĂ©ral. Clarence Stam. Cet article a pour sujet les signe s de l' alliance entre Dieu et son peuple: le sabbat, la circoncision, le baptĂȘme qui a remplacĂ© la circoncision, la cĂšne, avec une Ă©valuation de la pensĂ©e baptiste et de la question de la participation des enfants Ă  la cĂšne. Dans histoire de l’humanitĂ©, l’on a toujours pensĂ© que les chiffres font partie du rationnel et des sciences exactes. Par contre, ceux-ci ont un cĂŽtĂ© sacrĂ©, mystique ou encore occulte, selon l’entendement qu’on leur attribue. Mieux, on dira qu’ils ont une signification divine et alerte un appelĂ© spirituel. DĂ©couvrez ci-dessous quelques un des signes d’un appel spirituel ! Une sĂ©quence de signes d’un appel spirituel Si vous voyez les sĂ©quences de numĂ©ros comme les 11 11, 22 22 et 33 33, en rĂȘve, sur une montre, une piĂšce d’identité  Faites attention, car vous ĂȘtes surement en face d’un message universel. La rĂ©pĂ©tition de la sĂ©quence de chiffres 11 11, 22 22 et 33 33 sont des signes d’un appel spirituel qui vient des codes occultes de Sirius, Orion et PlĂ©iades, pour que les personnes se connectent avec le MOI supĂ©rieur ». Plusieurs personnes reçoivent cet appel, mais trĂšs peu d’entre elles en comprennent le sens et Ă©tablissent la communication comme il se doit. Les sĂ©quences et leurs sens pour une appelĂ© spirituel 11 11 Restez vigilant ! Pensez seulement Ă  ce que vous voulez et vous dĂ©sirez. Ne faites surtout pas le contraire ! Cette sĂ©quence est la preuve de qu’il y a toujours une autre chance d’apprendre Ă  se dĂ©tacher des choses et que nos pensĂ©es se manifestent plus rapidement qu’avant. Cela confirme aussi que les anges sont avec vous en tout temps et prĂȘts Ă  vous aider. Quand vous regardez votre montre et vous voyez s’afficher 11 11, cela signifie que le moment est venu pour vous de vous spiritualiser et de prendre le chemin de l’élĂ©vation spirituelle. Cette sĂ©quence est un signe avant-coureur de votre Ă©tat de santĂ© futur, une maniĂšre de vous avertir sur l’imminence d’une maladie grave, d’un accident. C’est aussi le dernier appel pour Ă©voluer en amour
 22 22 Cette sĂ©quence se prĂ©sente comme la matĂ©rialisation dans un futur proche de toutes vos idĂ©es, dĂ©sirs et projets. Tout se dĂ©roulera bien ! Concentrez-vous sur votre bien-ĂȘtre quotidien, et ayez toujours de bonnes pensĂ©es. Mais si vous regardez votre montre et vous voyez s’afficher 22 22, C’est l’un des signes d’un appel spirituel pour une attention particuliĂšre sur votre Ă©tat de santĂ©. Prenez soin de vous ! Nourrissez-vous bien, pratiquez du sport, dormez bien et, surtout, libĂ©rez-vous des dĂ©pendances Ă©motionnelles, comme la crainte, la colĂšre, la douleur et la tristesse. 33 33 Cette sĂ©quence signifie que les maĂźtres spirituels, comme JĂ©sus, la Sainte Marie, le Quan Yin et la Yogananda sont ensembles et avec vous ! Dans tous les cas, le calme et la rĂ©flexion doivent nous guider quand l’on se retrouve face Ă  une sĂ©quence de numĂ©ros similaires tels que prĂ©sentĂ©s ci-dessus. A lire aussi La numĂ©rologie du bonheur mois par mois. A quoi servent les rĂȘves ? 5 techniques de purification spirituelle du corps. Celuique Dieu appelle Ă  son service Ă©prouve de la compassion envers celles et ceux qui souffrent, les pauvres, les Ă©trangers, celles et ceux qui ne connaissent pas le Christ. -> une joie profonde Cette allĂ©gresse est celle qu’éprouvaient les disciples d’EmmaĂŒs en remontant vers JĂ©rusalem, pour annoncer Ă  leurs compagnons qu’ils avaient vu le Seigneur ressuscitĂ©.
Sept promesses -> sept mesures Ă  prendre Dieu nous donne sept promesses pour entrer dans notre vocation. Pour les expĂ©rimenter, il y a sept dĂ©marches Ă  entreprendre. Sept promesses Sept mesures Ă  prendre 1. Dieu a un appel pour ta vie. Fais-Lui confiance, Il viendra te rejoindre lĂ  oĂč tu vis en tenant compte de tes passions. JĂ©rĂ©mie 29 11-12 2. Dieu t’appelle par ton nom, Il veut collaborer avec toi et t’impliquer dans son Ɠuvre libĂ©ratrice. Fais-Lui confiance en mettant ta vie Ă  Sa disposition sans conditions. 1 Corinthiens 1 30 3. Dieu te connais, Il veut te rĂ©vĂ©ler qui tu es vraiment et comment Il est prĂ©sent dans ta vie. Fais-Lui confiance, Il sera toujours avec toi et prĂšs de toi. Psaume 139 4. Dieu a un message unique et libĂ©rateur pour toi qu’Il souhaite que tu proclames au travers de tes paroles et actes. Fais-Lui confiance, Il te guidera, dans ce que tu diras Ă  tes proches et comment tu le feras. Romains 8 1-3 5. Dieu t’as donnĂ© des dons et des ressources afin que ton engagement soit empreint de puissance et d’autoritĂ© spirituelle. Prie pour recevoir la direction du Saint-Esprit ; investis tes compĂ©tences avec confiance. Jean 14 12-13 & ÉphĂ©siens 1 21 6. Tes faiblesses, tes manques et tes handicaps, ne sont pas un problĂšme pour Dieu. Fais-lui confiance, Il peut mĂȘme les utiliser pour Se glorifier. Romains 8 26-30 7. Dieu ne te laisse jamais seul ; Il comble tes besoins et manques au travers d’autres personnes. Fais Lui confiance, permet aux autres de t’aider et donne un coup de main Ă  ceux qui ont besoin de toi. ÉsaĂŻe 41 13 Ceci n’est que le rĂ©sumĂ© d’un article plus long 7 Ă©tapes pour rĂ©pondre Ă  l’appel de Dieu pour ma vie TĂ©lĂ©charge la page des 7 points d’appel Si tu as des questions ou si tu veux nous donner ton avis, clique sur l’enveloppe
Commentdiscerner l’authenticitĂ© des signes de Dieu ? La marque de Dieu se reconnaĂźt Ă  ses fruits : « charitĂ©, joie, paix, longanimitĂ©, serviabilitĂ©, bontĂ©, confiance 1. L'appel Chacun des confirmands est appelĂ© par son prĂ©nom, comme au baptĂȘme. Dans la tradition biblique, nommer une personne manifeste l’appel que Dieu lui adresse personnellement. Celle-ci rĂ©pond librement Me voici » et s’avance. 2. La profession de foi Proclamer publiquement le Credo de l’Église est une affirmation d’adhĂ©sion libre Ă  la foi, un signe d’appartenance Ă  la communautĂ© et un engagement Ă  vivre sa vie selon l’Évangile. 3. L’imposition des mains et l’appel de l’Esprit L'Ă©vĂȘque impose les mains aux confirmands. Ce geste se retrouve pour tous les sacrements de l’Église. Depuis le temps des apĂŽtres, il est le signe du don de l’Esprit. Tout en accomplissant ce geste, l’évĂȘque demande les sept dons du Saint-Esprit la sagesse et l’intelligence, le conseil et la force, la connaissance et l’affection filiale et la crainte de Dieu qui n’est pas synonyme de terreur, mais de profond respect envers Dieu. 4. L’onction avec le saint chrĂȘme Le saint chrĂȘme est une huile parfumĂ©e. Elle est consacrĂ©e par l’évĂȘque, entourĂ© par tous les prĂȘtres du diocĂšse, pendant la semaine sainte cette messe solennelle est dite chrismale ». Le saint chrĂȘme est le signe du don de l’Esprit saint. Le baptisĂ© a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© marquĂ© sur le front du saint chrĂȘme le jour de son baptĂȘme ; cette seconde onction » de la confirmation n’en est en fait qu’une seule. Elle prolonge celle du baptĂȘme et marque l’unitĂ© des deux sacrements. L’évĂȘque, en appliquant le saint chrĂȘme dit N., sois marquĂ© de l’Esprit saint le don de Dieu. » Dans les Églises orientales de rite byzantin, l’onction se fait sur le front, les yeux, les narines, les oreilles, les lĂšvres, la poitrine, le dos, les mains et les pieds. 5. Le baiser de la paix Le baiser de paix, qui achĂšve le rite du sacrement, signifie et manifeste la communion ecclĂ©siale avec l’évĂȘque et avec tous les SĂ©bastien Antoni, assomptionniste>>> À lire aussi sur FĂȘter le jour anniversaire de son baptĂȘme <<<
Cessignes ont habituellement un double aspect : un appel du cƓur et une confirmation extĂ©rieure dans le rĂ©el. Pour bien discerner le signe, il est nĂ©cessaire d’atteindre ce que saint Ignace appelle « l’indiffĂ©rence » : une libertĂ© intĂ©rieure qui devient alors volontĂ© de servir la gloire de Dieu, Ă  sa façon et non selon mes goĂ»ts.
Le Coran est un guide pour l’humanitĂ©. Il mĂšne au succĂšs dans cette vie et au bonheur Ă©ternel dans l’au-delĂ , un prĂ©sent du CrĂ©ateur Ă  Sa crĂ©ation. C’est un livre rempli de signes que Dieu appelle des indices, des preuves, des leçons. Ces signes prouvent l’existence de Dieu et mettent en garde l’humanitĂ© contre le Jour du Jugement, oĂč chacun d’entre nous se tiendra devant Dieu, Ă©crasĂ© ou, au contraire, Ă©levĂ© par les actions qu’il aura accomplies sur terre. Un des signes les plus manifestes du Coran est l’histoire de MoĂŻse, une histoire qui comprend de nombreuses leçons pour l’humanitĂ©. Un Ă©lĂ©ment de ce rĂ©cit qui a intriguĂ© le monde des siĂšcles durant est le partage des eaux de la Mer Rouge et la noyade des Égyptiens. Les trois grandes religions monothĂ©istes judaĂŻsme, christianisme et islam rapportent sensiblement la mĂȘme histoire de MoĂŻse, Ă  la diffĂ©rence prĂšs que le Coran apporte de nombreux dĂ©tails supplĂ©mentaires et corrige certaines interprĂ©tations erronĂ©es. Tandis que toutes les versions incluent le partage des eaux de la Mer Rouge et la mort par noyade de Pharaon, le Coran nous apprend que le corps de Pharaon sera prĂ©servĂ© jusqu’à la fin des temps afin de servir de signe et de rappel aux gens. Nous allons aujourd’hui Ă©pargner ton corps afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront aprĂšs toi. Mais en vĂ©ritĂ©, beaucoup de gens ne prĂȘtent aucune attention Ă  Nos signes. » Coran 1092 Quand Pharaon dĂ©tenait le pouvoir, qu’il Ă©tait riche, puissant et en bonne santĂ©, il refusait de reconnaĂźtre l’existence de Dieu. Il nia toutes les preuves qui lui furent prĂ©sentĂ©es et fut ainsi l’artisan de sa propre condamnation. Mais Ă  la derniĂšre minute, tandis que les vagues menaçaient de le noyer et que son cƓur se serra de terreur, Pharaon reconnut Dieu. Son arrogance s’évanouit d’un seul coup, mais il Ă©tait, hĂ©las, trop tard; il vit la mort approcher et, devant l’horreur de ce qui l’attendait, pria Dieu de lui venir en aide. Le fameux Ă©rudit musulman Ibn Kathir dĂ©crit ainsi la mort de Pharaon Le rideau tomba sur la tyrannie de Pharaon et les vagues rejetĂšrent son corps sur la rive occidentale de la mer. Les Égyptiens l’aperçurent et comprirent aussitĂŽt que la divinitĂ© qu’ils adoraient et Ă  laquelle ils obĂ©issaient n’avait Ă©tĂ© rien d’autre qu’un homme, un homme incapable d’éloigner la mort de sa propre personne. » Dieu, en parlant du corps de Pharaon, parle d’un signe pour ceux qui viendront aprĂšs ». Beaucoup de pharaons d’Égypte se sont comportĂ©s comme s’ils Ă©taient des dieux. Quand un pharaon atteignait sa trentiĂšme annĂ©e de rĂšgne, on organisait une cĂ©rĂ©monie appelĂ©e Sed, au cours de laquelle le pharaon recevait officiellement le titre de dieu ». Plusieurs pharaons, surtout ceux ayant rĂ©gnĂ© durant ce qui est appelĂ© le deuxiĂšme royaume », ont fait Ă©riger de nombreux monuments et statues en leur honneur. Certains, et plus particuliĂšrement Amenhotep III et RamsĂšs II, souhaitaient laisser leur marque en souvenir de leur puissance, de leur richesse et de leur prĂ©tendu caractĂšre divin. Dieu dit Ă  MoĂŻse Rends-toi auprĂšs de Pharaon, car il s’est certes rebellĂ©. Et dis-lui Souhaites-tu te purifier? » Coran 7917-18 Puis, tournant rapidement le dos, Pharaon alla rassembler [ses gens] et proclama C’est moi votre seigneur, le trĂšs-haut! ». Alors Dieu le saisit et en fit un exemple pour l’au-delĂ  comme pour le monde d’ici-bas. Certes, il y a en cela une leçon pour celui qui craint Dieu. »Coran 7924-25 Alors Pharaon dit Ô notables! Je ne vous connais pas d’autre divinitĂ© que moi-mĂȘme. Ô Haman, allume-moi le four Ă  briques, puis construis-moi une tour afin que je puisse monter jusqu’au dieu de MoĂŻse. Mais je pense, en vĂ©ritĂ©, qu’il est du nombre des menteurs. » Coran 2838 Les pharaons de l’ancienne Égypte Ă©taient connus pour leurs excĂšs, leur croyance en de multiples divinitĂ©s et leur cruautĂ© et oppression envers leurs esclaves et les citoyens de leur pays. Quand un ĂȘtre humain croit fermement qu’il n’est rien de moins qu’un dieu, il devient inĂ©vitablement arrogant et tyrannique. MalgrĂ© cela, et malgrĂ© l’incroyable arrogance du pharaon du temps de MoĂŻse, Dieu Ă©tait prĂȘt Ă  lui pardonner. Il lui envoya une succession de signes et de preuves de Son existence, mais Pharaon continua de vivre comme s’il n’y avait pas de lendemain. Il rejeta du revers de la main les offres de pardon que Dieu lui transmettait par l’intermĂ©diaire de MoĂŻse. Pour des gens comme cela, il y a pourtant toujours un lendemain et un inĂ©luctable jugement, suivi d’un chĂątiment. Partez, toi et ton frĂšre, [tous deux appuyĂ©s de] Mes signes, et ne cessez pas de M’invoquer. Allez tous deux trouver Pharaon; il a certes transgressĂ© toutes les limites. Et parlez-lui gentiment; peut-ĂȘtre prĂȘtera-t-il attention ou Me craindra-t-il. »Coran 2042-44 Les signes que Dieu envoya Ă  Pharaon Ă©taient destinĂ©s Ă  lui servir de rappel, mais Pharaon n’y porta aucune attention et sera donc du nombre des perdants dans l’au-delĂ . Les corps des pharaons, qui ont Ă©tĂ© prĂ©servĂ©s jusqu’à aujourd’hui, sont des rappels des paroles de Dieu. On peut Ă©galement les comparer Ă  beaucoup de gens d’aujourd’hui, qui se comportent comme des rois infaillibles, et nous rappeler comment Dieu chĂątie les arrogants et les tyrans. La fin tragique de Pharaon est un rappel pour toute l’humanitĂ©. Elle nous rappelle que ceux qui choisissent dĂ©libĂ©rĂ©ment de ne pas adorer Dieu comme Il le mĂ©rite risquent de n’ĂȘtre jamais guidĂ©s sur la bonne voie. Combien de signes Dieu nous enverra-t-Il encore? Un? Un million? Vaut-il vraiment la peine de renoncer totalement au bonheur Ă©ternel pour quelques moments de contentement et de fiertĂ© basĂ©s uniquement sur l’ego et l’arrogance? Source Un mot sur les tyrans"Un tyran est une personne dotĂ©e d'une incroyable mĂ©chancetĂ©. Nous pouvons citer comme exemple Ota tyran de Amino, il aurait a lui seul tuĂ© plus de 100 personnes.du grec ancien ÏÏÎ±ÎœÎœÎż / tĂșrannos, dĂ©signe dans l'AntiquitĂ© grecque un individu disposant d’un pouvoir absolu, aprĂšs s'en ĂȘtre emparĂ© de façon illĂ©gitime. Le mot tyran, peut-ĂȘtre d'origine lydienne a Ă©tĂ© appliquĂ© pour la premiĂšre fois au viiie siĂšcle av. au roi lydien GygĂšs par le sophiste Hippias d'Élis. Le terme prit trĂšs vite un sens pĂ©joratif, notamment Ă  AthĂšnes, impliquant que le tyran abuse de son pouvoir la nature du pouvoir tyrannique se reconnaĂźt en effet Ă  ce que le tyran, sans abolir les lois, se place au-dessus d'elles[2]. La perversion de ce rĂ©gime tient aussi au fait que la tyrannie cumule les vices de la dĂ©mocratie et ceux de l'oligarchie », en raison de l'amour du tyran pour les richesses et de son hostilitĂ© Ă  l'Ă©gard du peuple qu'il dĂ©sarme et asservit[3]. En outre, ce rĂ©gime se caractĂ©rise par son arbitraire, le tyran Ă©tant celui qui, dans la citĂ©, exerce son autoritĂ© selon ses propres vues » ; Platon utilise presque les mĂȘmes termes dans Le Politique, et le sous-entend en le dĂ©crivant dans le Gorgias. Sur le plan politique, il y a une diffĂ©rence entre tyrannie » et despotisme » dans la GrĂšce antique, un tyran Ă©tait un homme qui disposait d’un pouvoir assurĂ© par la force ; ce pouvait ĂȘtre un ancien magistrat, parfois mĂȘme un esclave, arrivĂ© au pouvoir aprĂšs un coup d'État, par ruse plus que par violence. Les tyrans ne prirent jamais officiellement le titre de tyran, et il n'y eut pas de titre gĂ©nĂ©ral et officiel pour les dĂ©signer, c'est pourquoi on leur donne le nom dont leurs ennemis les stigmatisaient."Source NemrodLe Coran fustige les gouverneurs qui se posent en seigneurs absolus sur terre, et qui asservissent les serviteurs de Dieu, tels que Nemrod Ă  propos duquel le Coran relate le face Ă  face qui l’a opposĂ© Ă  Abraham en ces termes N’as-tu pas vu celui qui, parce que AllĂąh l’avait fait roi, argumenta contre Abraham au sujet de son Seigneur ? Abraham ayant dit "J’ai pour Seigneur Celui qui donne la vie et la mort", "Moi aussi, dit l’autre, je donne la vie et la mort." Alors dit Abraham "Puisqu’AllĂąh fait venir le soleil du Levant, fais-le donc venir du Couchant." Le mĂ©crĂ©ant resta alors confondu. AllĂąh ne guide point les gens injustes. » Sourate 2, Al-Baqarah, La gĂ©nisse, verset 258. Ce tyran, qui affirmait donner la vie et la mort, tout comme le seigneur d’Abraham — le Seigneur des Mondes — donne la vie et la mort, exigeait que les gens lui vouent un culte comme ils vouaient un culte au seigneur d’Abraham. L’imprudence de cet homme Ă©tait telle qu’il a choisi au hasard deux passants dans la rue et les a condamnĂ© Ă  mort. Il a fait exĂ©cuter l’un d’eux en disant VoilĂ , je lui ai donnĂ© la mort. » Puis, il a amnistiĂ© l’autre en disant VoilĂ , je lui ai donnĂ© la vie » et de demander N’est-il pas vrai que je donne la vie et la mort ? » Dans la mĂȘme veine, il y a Pharaon qui a fait annoncer Ă  son peuple Je suis votre Seigneur le TrĂšs-Haut. » Sourate 79, An-NĂązi`Ăąt, verset 24. En effet, le Coran condamne trois formes de vices caractĂ©risant le despotisme politique 1 Le gouverneur se posant en dieu sur terre, dominant la terre de Dieu et sĂ©vissant contre les serviteurs de Dieu, Ă  l’instar de Pharaon. Pharaon2 L’homme politique arriviste qui met son intelligence et son expĂ©rience au service d’un tyran afin d’asseoir son pouvoir et assujettir les masses, Ă  l’instar de HĂąmĂąn.. 3 Le capitaliste qui profite du pouvoir du tyran ; il soutient ce dernier par sa fortune pour rĂ©colter une fortune encore plus grande qu’il suce dans la sueur et le sang du peuple, Ă  l’instar de QĂąrĂ»n CorĂ©. III. LE CORAN FAIT LIEN ENTRE LA TYRANNIE ET LA CORRUPTION Le Coran Ă©tablit une relation entre la tyrannie et la propagation de la corruption qui entraĂźne le pĂ©ril et la destruction des nations. Le TrĂšs-Haut dit en effet N’as-tu pas vu comment ton Seigneur a agi avec les `Âd § avec Iram, la citĂ© Ă  la colonne remarquable, § dont jamais pareille ne fut construite parmi les villes ? § et avec les ThamĂ»d qui taillaient le rocher dans la vallĂ©e ? § ainsi qu’avec Pharaon, l’homme aux Ă©pieux ? § Tous, Ă©taient des tyrans dans leurs pays, § et y avaient semĂ© beaucoup de corruption. » Sourate 89, Al-Fajr, L’aube, versets 6 Ă  12. Parfois, le Coran dĂ©signe la tyrannie en parlant d’élĂ©vation » `uluww, qui correspond Ă  un sentiment de supĂ©rioritĂ© et le fait de sĂ©vir contre les gens en les humiliant et en les Ă©crasant. Ainsi le TrĂšs-Haut dit de Pharaon Pharaon qui Ă©tait hautain et outrancier » Sourate 44, Ad-DukhĂąn, La fumĂ©e, verset 31. Pharaon Ă©tait hautain sur terre ; il rĂ©partit en clans ses habitants, afin d’abuser de la faiblesse de l’un d’eux Il Ă©gorgeait leurs fils et laissait vivantes leurs femmes. Il Ă©tait vraiment parmi les fauteurs de corruption. » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 4. Ainsi voit-on que le sentiment de supĂ©rioritĂ© va toujours de pair avec la corruption. LES SOLDATS DU TYRAN ET SES MOYENS D’OPPRESSION PARTAGENT SON PÉCHÉEn sus des tyrans eux-mĂȘmes, la responsabilitĂ© des mĂ©faits repose sur les instruments du pouvoir », que le Coran dĂ©signe par le terme soldats », et qui correspondent Ă  la force militaire qui constitue la force de frappe du pouvoir politique destinĂ©e Ă  mĂąter les populations si d’aventure elles se rebellaient ou songeaient Ă  se rebeller. Le Coran dit Ă  ce sujet Pharaon, HĂąmĂąn et leurs soldats Ă©taient fautifs. » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 8. et Nous le saisĂźmes donc, ainsi que ses soldats, et les jetĂąmes dans le flot. Regarde donc ce qu’il est advenu des injustes ! » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 40. LE CORAN CRITIQUE LES PEUPLES QUI SE SOUMETTENT AUX TYRANS Le Coran n’a pas limitĂ© sa condamnation aux individus qui se prennent pour des dieux uniquement, il a Ă©tendu sa critique Ă  leurs peuples qui ont obĂ©i Ă  leur commandement, leur ont emboĂźtĂ© le pas et leur ont confiĂ© leur sort. Le Coran leur a attribuĂ© une part de responsabilitĂ©. Le TrĂšs-Haut dit Ă  propos du peuple de NĂ»h NoĂ© NoĂ© dit "Seigneur, ils m’ont dĂ©sobĂ©i et ils ont suivi celui dont les biens et les enfants n’ont fait qu’accroĂźtre la perte. » Sourate 71, NĂ»h, NoĂ©, verset 21.Il dit — ExaltĂ© soit-Il — Ă  propos des `Âd, le peuple de HĂ»d VoilĂ  les `Âd. Ils avaient niĂ© les signes de leur Seigneur, dĂ©sobĂ©i Ă  Ses messagers et suivi le commandement de tout tyran entĂȘtĂ©. » Sourate 11, HĂ»d, verset 59. Il dit aussi — ExaltĂ© soit-Il — Ă  propos du peuple de Pharaon Ainsi chercha-t-il Ă  Ă©tourdir son peuple et ainsi lui obĂ©irent-ils car ils Ă©taient des gens pervers. » Sourate 43, Az-Zukhruf, L’ornement, verset 54. Mais ils suivirent l’ordre de Pharaon, bien que l’ordre de Pharaon n’était point avisĂ©. § Il prĂ©cĂ©dera son peuple, au Jour de la RĂ©surrection. Il les mĂšnera Ă  l’aiguade du Feu. Et quelle dĂ©testable aiguade ! » Sourate 43, Az-Zukhruf, L’ornement, verset 54. Il a fait porter aux peuples une part de responsabilitĂ© car ce sont les peuples qui fabriquent les pharaons et les tyrans. C’est ce que les gens expriment dans l’adage On a demandĂ© Ă  Pharaon “Qu’est-ce qui a fait de toi un despote ?” Il a rĂ©pondu “Personne ne m’a arrĂȘtĂ© !” » LA SUNNAH FUSTIGE LES PRINCES INJUSTES La tradition prophĂ©tique a Ă©galement fustigĂ© les princes injustes et les tyrans, qui mĂšnent leurs peuples au martinet, et lorsqu’ils se prononcent personne n’ose les reprendre. Ceux-lĂ  sont ceux qui se prĂ©cipitent dans le feu tels des papillons de nuit ». Elle a Ă©galement fustigĂ© leurs auxiliaires, qui les entourent et les encensent. La tradition prophĂ©tique critique aussi les peuples qui se laissent imprĂ©gner par la peur au point que personne ne puisse appeler un tyran un tyran. Selon AbĂ» MĂ»sĂą, le Messager de Dieu dit La GĂ©henne contient une vallĂ©e dans laquelle se trouve un puits du nom de Habhab. Dieu y a destinĂ© tout tyran obstinĂ©. » Selon Mu`Ăąwiyah, le ProphĂšte dit AprĂšs moi viendront des gens qui se prononceront sans que personne n’ose les reprendre, ils feront la grimace dans le Feu comme des singes. » D’aprĂšs JĂąbir, le ProphĂšte dit Ă  Ka`b Ibn `Ajrah “Que Dieu te prĂ©serve du pouvoir des princes indigents, ĂŽ Ka`b.” — “Qui sont les princes indigents ?”, s’enquit ce dernier. — “Ce sont des princes qui viendront aprĂšs moi, qui ne suivent pas ma guidance et n’appliquent pas ma tradition. Ceux qui approuveront leurs mensonges, ou les soutiendront dans leurs injustices, ne sont pas des miens et je ne suis pas des leurs et ils ne boiront pas Ă  mon Bassin. Ceux qui ne les approuveront pas ni ne les soutiendront dans leurs injustices,sont des miens et je suis des leurs et ils boiront Ă  mon Bassin.”. D’aprĂšs un rĂ©cit attribuĂ© au ProphĂšte marfĂ»` selon Mu`Ăąwiyah Toute nation oĂč l’on ne rend pas la justice et oĂč le faible n’arrache pas ses droits au fort sans peine ne sera point sanctifiĂ©e. » D’aprĂšs un rĂ©cit attribuĂ© au ProphĂšte marfĂ»` selon `Abd AllĂąh Ibn `Amr Si tu vois ma nation craindre d’appeler un injuste un injuste, alors plus rien n’est Ă  espĂ©rer d’elle. ». Voir l'article dans sa totalitĂ© ici Et ne pense point qu’Allah soit inattentif Ă  ce que font les injustes. Il leur accordera un dĂ©lai jusqu’au jour oĂč leurs regards se figeront. » IbrĂąhim, verset 42Des quartiers Est d’Alep au territoire de Beni, du gĂ©nocide des Rohingyas Ă  la colonisation galopante en Cisjordanie, sans oublier les intenses prĂ©occupations de la communautĂ© noire aux Etats-Unis, partout, les injustices sont flagrantes, les crimes rĂ©voltants, leurs auteurs honteusement impunis. Si le monde prĂ©fĂšre dĂ©tourner le regard, fermer les yeux sur le sort d’autant de peuples opprimĂ©s, AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom, Lui, n’ignore rien de la situation de Ses crĂ©atures. Il est Compatissant Ra’oĂ»f envers Ses serviteurs, et le rappel retentissant de ce verset nous interdit de nourrir de mauvaises pensĂ©es au sujet de notre Seigneur face aux malheurs qui s’amoncellent dans le monde. Si les injustes, les rĂ©gimes oppresseurs, les systĂšmes basĂ©s sur l’humiliation des peuples, semblent aujourd’hui Ă  l’abri de tout blĂąme, de toute condamnation de leurs actes, AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom nous assure que cette impunitĂ© apparente n’est que temporaire, et que Sa rĂ©ponse sera en attendant cette justice, qui triomphera forcĂ©ment au Jour du Jugement, quand les regards se figeront », quel comportement doit adopter le musulman soumis Ă  la tyrannie d’une personne, au despotisme d’un rĂ©gime, Ă  la barbarie d’un systĂšme ? Quelle attitude spirituelle, au-delĂ  de ses divers engagements sociaux, humanitaires, de ses prises de positions militantes, doit-il observer ? Si la morale islamique nous dĂ©fend de rĂ©agir aux Ă©vĂ©nements, positifs comme nĂ©gatifs, sous le coup de nos seules Ă©motions, elle nous enjoint Ă  chercher le refuge et le rĂ©confort dans la priĂšre et d’implorer le secours d’AllĂąh dans les circonstances malheureuses. C’est ainsi que le ProphĂšte Muhammed paix et bĂ©nĂ©dictions d’AllĂąh sur lui a garanti que toute invocation, supplique ou complainte adressĂ©e par les victimes d’injustices Ă  AllĂąh ne connaĂźtrait ni barriĂšre ni Khuzeima Ibn Thabit qu’Allah l’agrĂ©e, le ProphĂšte que la priĂšre d’Allah et son salut soient sur lui a dit Craignez l’invocation de celui qui subit une injustice car elle est certes portĂ©e au dessus des nuages et Allah dit Par ma Puissance et ma MajestĂ©, je vais certes te secourir d’ici peu ». rapportĂ© par At-TabarĂąniL’opprimĂ© secouru, l’oppresseur chĂątiĂ© et humiliĂ© au Jour de la reddition des comptes. Celui qui pensait n’avoir Ă  jamais rĂ©pondre de ses actes, confrontĂ© par la Justice du Tout-Puissant avant de voir son statut basculer pour passer de bourreau Ă  suppliciĂ©, d’intouchable Ă  vulnĂ©rable. OĂč qu’ils soient, qui qu’ils soient, les auteurs d’actes indicibles, insaisissables aujourd’hui, subiront un jour Ă  leur tour l’humiliation, la souffrance et le chĂątiment. Par cette annonce, et par l’invitation Ă  la patience Ă  travers l’invocation, l’islam appelle le musulman Ă  s’abstenir de tout acte de vengeance personnelle, Ă  tout rĂ©flexe guidĂ© par les passions et la rancƓur, et non par la lumiĂšre de la foi. L’islam appelle Ă  croire avec certitude et conviction Ă  la rĂ©alitĂ© du Jour du Jugement, oĂč la Justice sera rendue sans qu’aucune crĂ©ature d’AllĂąh ne soit lĂ©sĂ©e, ainsi qu’au Destin, au dĂ©roulement des Ă©vĂ©nements dont nous sommes les tĂ©moins, qu’ils soient heureux ou malheureux. Ces deux Ă©lĂ©ments, faisant partie intĂ©grante des six piliers de la foi, placeraient quiconque les refuse et les rejette en dehors du champ commun des croyants. MalgrĂ© la difficultĂ©, le pessimisme liĂ© Ă  l’époque et Ă  son contexte dĂ©favorable, le sentiment d’impuissance et l’immense injustice pouvant ĂȘtre vĂ©cue dans nos vies personnelles, mais aussi dans certaines contrĂ©es lointaines, la clĂ© demeure dans la relation Ă  AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom et la certitude en Sa Ibn Omar qu’Allah les agrĂ©e, le ProphĂšte que la priĂšre d’Allah et son salut soient sur lui a dit Le jour du jugement Allah va plier les cieux puis il va les prendre dans sa main droite puis Il va dire Je suis le Roi, OĂč sont les tyrans ? OĂč sont les orgueilleux ? Puis Il va plier les terres et va les prendre dans sa main gauche puis Il va dire Je suis le Roi, OĂč sont les tyrans? oĂč sont les orgueilleux ? » rapportĂ© par Muslim – Sahih n° 2788Source Quoi ? Les opprimĂ©s jouent un rĂŽle dans la domination qu’ils subissent c’est parce qu’ils l’acceptent qu’elle peut se mettre en place et se perpĂ©tuer. L’Ɠuvre Le discours de la servitude volontaire Ă©tait Ă  l’origine une simple dissertation rĂ©digĂ©e par La BoĂ©tie alors qu’il Ă©tait encore Ă©tudiant. Pourtant, ce texte a traversĂ© les siĂšcles car il dit quelque chose d’universel sur la nature humaine. Attention Ă  ne pas caricaturer les propos de La BoĂ©tie, il n’est pas contre le gouvernement et l’obĂ©issance, mais contre la soumission Ă  la tyrannie ! Qui ? Le peuple ! Face Ă  la tyrannie, il serait facile de considĂ©rer que les responsables sont des masses aveuglĂ©es
 Pourtant, cette masse n’est-elle pas composĂ©e d’individus parfaitement capables de sens critique ? Pourquoi ? Puisqu’on n’a jamais vu quelqu’un ne pas souffrir de sa servitude, La BoĂ©tie considĂšre que la libertĂ© est naturelle. Dans ce cas, pourquoi servons-nous, alors que nous ne sommes pas soumis Ă  une force Ă  l’état brut ? Pour lui, le dĂ©sir de libertĂ© peut parfaitement s’accompagner d’une volontĂ© de servitude. Ce constat suppose que la lĂ©gitimitĂ© du pouvoir ne va pas de soi, aucune domination ne peut se prĂ©valoir d’un fondement naturel. Comment ? 1 L’habitude, la tradition si on est nĂ© dans un Ă©tat de servitude, on ne peut pas regretter quelque chose que l’on a pas connu. 2 La ruse des tyrans pour abĂȘtir leurs sujets il est dans l’intĂ©rĂȘt d’un pouvoir tyrannique de maintenir les individus dans l’ignorance de tout ce qui pourrait les attirer vers la libertĂ©. 3 La chaĂźne de soumission un tyran est soutenu par quelques hommes, eux-mĂȘmes soutenus par une centaine d’autres hommes, et ainsi de suite, jusqu’à ce que la totalitĂ© d’un territoire soit soumise Ă  une mĂȘme autoritĂ©. Ce qui donne
 Si on est privĂ© de libertĂ©, c’est parce qu’on la dĂ©laisse ! Source Lorsquevous cherchez Ă  connaĂźtre l’appel de Dieu pour votre vie, il vous faut suivre l’exemple d’Esther. PremiĂšrement, rassemblez tout le soutien possible. Esther demanda Ă  MardochĂ©e et Ă  tous les Juifs de prier pour elle. De mĂȘme,
Dieu n'adressa pas d'appel direct Ă  ÉsaĂŻe. ÉsaĂŻe entendit seulement Dieu demandant Qui enverrai-je ? » L'appel de Dieu n'est pas seulement pour quelques-uns, il s'adresse Ă  tous Qui enverrai-je et qui marchera pour nous ? — Me voici, rĂ©pondis-je, envoie-moi. ÉsaĂŻe 68 » Cela veut dire simplement que parmi les appelĂ©s, peu Ă©coutent de maniĂšre Ă  ĂȘtre Ă©lus. Les Ă©lus sont ceux qui, entrĂ©s en contact avec Dieu par JĂ©sus-Christ, ont changĂ© leur attitude, et dont les oreilles, dĂ©bouchĂ©es, perçoivent le murmure doux et subtil" rĂ©pĂ©tant sans cesse Qui marchera pour nous ? » Il ne s'agit pas d'un appel direct Ă  un individu, Ă  qui Dieu disait Toi, il te faut aller ! » Dieu n'a pas du tout contraint ÉsaĂŻe. ÉsaĂŻe se tenait devant Dieu, il entendit l'appel, et il se rendit compte qu'il n'avait qu'un seul parti Ă  prendre, une seule rĂ©ponse Ă  faire Me voici, envoie-moi. » DĂ©barrassez-vous de l'idĂ©e que Dieu viendra vous chercher, avec des injonctions ou des requĂȘtes. Quand notre Seigneur appela ses disciples, il n'exerça sur eux nulle appel, Ă  la fois ardent et serein Suis-moi », s'adressait Ă  des hommes en possession de tout leur sang-froid. Si nous permettons Ă  l'Esprit de Dieu de nous amener devant Dieu, face Ă  face, nous entendrons, comme ÉsaĂŻe, le murmure doux et subtil, et librement, sans crainte, nous dirons Me voici, envoie-moi. » L'appel de Dieu traduit la nature de Dieu J'entendis la voix du Seigneur disant Qui enverrai-je ? ÉsaĂŻe 68. » Quand nous parlons de l'appel de Dieu, nous oublions trop souvent ce qui est le plus essentiel, la nature mĂȘme du Dieu qui nous appelle. Il y a bien des appels Celui de la mer, celui des sommets, celui des glaces polaires ; ils ne sont entendus que par ceux qui sont faits pour les entendre. Car pour entendre un tel appel, il faut quelque chose en nous qui s'y rapporte. L'appel de Dieu exprime la nature divine, et non la nĂŽtre. Il y a certains accents de l'appel de Dieu qu'Il nous destine et que nous sommes seuls Ă  percevoir. C'est Dieu mĂȘme qui s'adresse Ă  nous et Ă  nous seuls sur tel point particulier. Il faut que nous puissions ĂȘtre en communion directe avec Lui. L'appel de Dieu n'est pas du tout l'Ă©cho de ma nature propre ; mon tempĂ©rament, mes tendances personnelles n'ont rien Ă  y voir. Tant que je suis prĂ©occupĂ© de ma nature propre et de mes aptitudes spĂ©ciales, je suis incapable d'entendre l'appel de Dieu. Pour en ĂȘtre capable, il faut que je traverse, comme ÉsaĂŻe, une crise qui me transforme et accorde mon Ăąme au diapason de Dieu. La plupart d'entre nous n'ont d'oreille que pour eux mĂȘmes et n'en ont point pour Dieu. Ce qu'est en nous l'appel de Dieu L'appel de Dieu n'est pas un appel Ă  Le servir de telle ou telle maniĂšre particuliĂšre ; mais je puis, pour moi, l'interprĂ©ter ainsi. Par mon contact avec Dieu, je me rends compte de ce que je voudrais faire pour Lui. L'appel de Dieu en nous, c'est avant tout l'expression de ce qu'Il est. La maniĂšre dont je puis le servir, c'est l'expression de ce qu'il y a en moi. Quand Dieu jugea bon de rĂ©vĂ©ler en moi son Fils, dit saint Paul, afin que je puisse l'annoncer...», c'est-Ă -dire en somme exprimer le fait de Sa prĂ©sence en moi. Le service de Dieu n'est pas autre chose que l'amour et l'adoration assez abondants pour dĂ©border et se rĂ©pandre au dehors. Mais, Ă  dire vrai, Dieu ne nous appelle pas expressĂ©ment Ă  le servir ; c'est une toute petite chose qui vient de moi, c'est l'effet naturel de ma vie transformĂ©e, Dieu me met en rapport avec Lui, de façon que je puisse comprendre son appel ; alors, de moi-mĂȘme, par amour pour Lui, je fais ce que je puis. Servir Dieu est l'humble hommage d'un ĂȘtre Ă  qui Dieu s'est rĂ©vĂ©lĂ©. Quand il me communique quelque chose de Lui-mĂȘme, cette Ă©nergie, qui est en moi comme en Lui, me permet d'agir avec Lui. Le Fils de Dieu s'Ă©tant rĂ©vĂ©lĂ© en moi, je le sers donc tout naturellement dans tous les dĂ©tails de ma vie. AppelĂ© Ă  proclamer la Bonne Nouvelle Le Christ ne m'a pas envoyĂ© pour baptiser, mais pour annoncer la Bonne Nouvelle. 1 Corinthiens 117 » Paul dĂ©clare ici que l'appel de Dieu, c'est l'appel Ă  proclamer la Bonne Nouvelle, c'est-Ă -dire la rĂ©alitĂ© de la RĂ©demption, dans la personne de notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Nous sommes portĂ©s Ă  faire de la sanctification le but final de notre enseignement. Paul se sert de ses expĂ©riences personnelles simplement Ă  titre d'exemple, mais ce n'est jamais pour lui le but dernier. Aucun texte dans la Bible ne nous ordonne de prĂȘcher le salut ou la sanctification ; notre rĂŽle est d'Ă©lever JĂ©sus-Christ. Jean 1232 C'est une mauvaise plaisanterie que d'oser dire JĂ©sus a souffert pour que je devienne, moi, un saint. » JĂ©sus a souffert pour racheter le monde entier, et le placer, restaurĂ©, purifiĂ©, sans tache, devant le trĂŽne de Dieu. Le fait que la RĂ©demption peut manifester en nous son efficacitĂ© est une marque de sa puissance et de sa rĂ©alitĂ©, mais non pas son but. Si Dieu avait notre nature humaine, comme il serait fatiguĂ©, Ă©cƓurĂ© de nos incessantes priĂšres pour notre salut, pour notre sanctification. Du matin au soir, nous l'accablons de nos requĂȘtes Il nous faut ceci, il faut qu'Il nous dĂ©livre de cela ! Quand nous aurons touchĂ© le roc profond de l'Évangile, nous ne L'ennuierons plus de nos jĂ©rĂ©miades. Paul n'avait qu'une passion proclamer la Bonne Nouvelle. Il acceptait avec empressement les chagrins, les dĂ©ceptions, les persĂ©cutions, parce que tout cela contribuait Ă  faire de lui un serviteur ferme et dĂ©vouĂ© de l'Évangile. L'appel qui nous contraint Malheur Ă  moi, si je n'annonce pas la Bonne Nouvelle ! 1 Corinthiens 916 » Prenez garde de ne pas boucher vos oreilles Ă  l'appel de Dieu. Sans doute, quiconque est sauvĂ© est appelĂ© Ă  rendre tĂ©moignage de ce fait. Mais ce n'est pas encore lĂ  l'appel Ă  prĂȘcher l'Évangile, il ne s'agit que d'un exemple dont on pourrait se servir au cours d'une prĂ©dication. Paul, dans ce texte, parles de la contrainte douloureuse qu'il a Ă©prouvĂ©e, lorsqu'il s'est agi pour lui d'annoncer la Bonne Nouvelle. Le salut est une affaire toute simple oĂč Dieu se charge de tout Venez Ă  moi et je vous sauverai. » La croix de JĂ©sus-Christ nous impose le salut. Mais pour ĂȘtre son disciple, il faut un choix que nous seuls pouvons faire. Pour que je sois, comme Paul, un vĂ©ritable serviteur de JĂ©sus-Christ, Dieu me façonne Ă  son grĂ©, sans me demander ma permission jamais. À son grĂ©, Dieu fait de nous le pain rompu, le vin rĂ©pandu. Être mis Ă  part pour l'Évangile, c'est un dĂ©chirement, c'est une agonie Toutes nos ambitions broyĂ©es, tous nos dĂ©sirs supprimĂ©s, tout en nous s'effaçant devant cet unique devoir Mis Ă  part pour l'Évangile. » Malheur Ă  celui qui essaye de marcher dans une autre direction, dĂšs qu'il a entendu cet appel ! Quand Dieu vous a saisi, arriĂšre tout autre appel ! Un texte de Oswald Chambers
donc les signes de Dieu comprennent tous les ĂȘtres habitant l'univers qui tĂ©moignent de Son existence et de Ses attributs. Ceux qui savent observer et qui se rappellent remarqueront que l'univers tout entier est composĂ© de signes de Dieu. Arriver Ă  voir, Ă  percevoir les signes de Dieu est une responsabilitĂ© de l'ĂȘtre humain.
Article du Pasteur Curry Blake. Nous pensons trop souvent que nous ne sommes pas encore prĂȘts pour rĂ©pondre Ă  l'appel de Dieu ! Source Beaucoup de ChrĂ©tiens attendent passivement que Dieu les appelle, alors que c'est Dieu qui attend qu'ils rĂ©pondent Ă  l'appel qu'Il nous a dĂ©jĂ  lancĂ© dans Sa Parole. Si cet article parvient Ă  toucher ton cƓur, c'est que tu es prĂȘt Ă  rĂ©pondre Ă  cet appel ! Quand je suis devenu ChrĂ©tien, Ă  l'Ăąge de 17 ans, j'ai aussitĂŽt compris quelle Ă©tait la volontĂ© de Dieu pour ma vie. J'ai su que je devais immĂ©diatement aller prĂȘcher l'Evangile partout, Ă  tous les hommes ! Depuis ce moment-lĂ , Dieu m'a aussi poussĂ© Ă  appeler tous ceux qui voulaient se lancer dans un ministĂšre semblable. A mesure que les gĂ©nĂ©rations plus ĂągĂ©es commencent Ă  ralentir leurs activitĂ©s ou Ă  s'enfoncer dans les traditions, c'est le devoir des gĂ©nĂ©rations plus jeunes de reprendre le flambeau et d'aller de l'avant. Tant que vous resterez fidĂšles Ă  l'Ecriture, vous ne vous Ă©garerez pas. Il va sans dire que beaucoup de ceux qui liront cet article ne rĂ©pondront pas Ă  mon appel, pensant qu'il est trop radical. Mais que ceux qui ont des oreilles pour entendre entendent ce que l'Esprit dit aux Eglises ! Voici quelques textes fondamentaux "Efforcez-vous d'entrer par la porte Ă©troite. Car, je vous le dis, beaucoup chercheront Ă  entrer, et ne le pourront pas" Lic 13 24. "Mais Ă©troite est la porte, resserrĂ© le chemin qui mĂšnent Ă  la vie, et il y en a peu qui les trouvent" Matthieu 7 14. "Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d'Ă©chapper Ă  toutes ces choses qui arriveront, et de paraĂźtre debout devant le Fils de l'homme" Luc 21 36. Ces versets de l'Ecriture nous montrent que la vie de ChrĂ©tien n'est pas toujours une marche joyeuse sur un tapis de fleurs ! "Efforcez-vous," "
 afin que vous ayez la force
" Les seuls efforts que doivent faire la plupart des ChrĂ©tiens modernes consistent Ă  supporter les sermons ennuyeux prĂȘchĂ©s par un pasteur impuissant, dans son mausolĂ©e de plusieurs millions de dollars. Pouvons-nous affirmer que nous nous efforçons rĂ©ellement de servir Dieu fidĂšlement ? Si je regarde la vie entiĂšrement consacrĂ©e des premiers ChrĂ©tiens, je me demande rĂ©ellement si JĂ©sus trouvera encore la vraie foi sur la terre, quand Il reviendra ! Non seulement nous nous contentons d'une grĂące bon marchĂ©, mais nous enseignons aux nouveaux ChrĂ©tiens Ă  considĂ©rer celle-ci comme la norme spirituelle. L'apĂŽtre Paul a souffert. Il a connu la lapidation, les flagellations, la morsure de serpents venimeux, les naufrages, la faim et les persĂ©cutions partout oĂč il allait. Il savait ce qui l'attendait. Il se rendit Ă  Rome en sachant qu'il allait y subir le martyre. Pourtant, nous avons peur de quitter notre ville si les pneus de notre voiture ne sont pas flambant neufs, ou si nous n'avons pas dollars dans notre portefeuille pour couvrir nos besoins. Dieu n'est-Il plus lĂ  pour soutenir ceux qu'Il envoie ? Vous pourriez me dire "Mais que faire si je ne suis pas encore prĂȘt, et si je n'ai pas encore achevĂ© ma croissance spirituelle ?" Tout d'abord, combien de temps doit durer cette pĂ©riode de croissance spirituelle ? Ensuite, quand saurez-vous que vous ĂȘtes prĂȘt ? Attendez-vous qu'une colombe descende du Ciel pour vous dire, d'une voix audible "Pars, tu es prĂȘt !" ? Quand un oiseau adulte pousse son petit hors du nid, l'oisillon n'est certainement pas persuadĂ© qu'il est prĂȘt Ă  voler ! Sinon, il ne rĂ©sisterait pas ! Admettons que vous n'ĂȘtes pas prĂȘt. Savez-vous ce que cela signifie ? Cela signifie que vous n'avez qu'Ă  dĂ©pendre de Dieu un tout petit peu plus ! Paul a dit que la puissance de Dieu s'accomplissait dans sa faiblesse, c'est-Ă -dire dans les domaines oĂč il ne se sentait pas encore pleinement prĂȘt. Aimeriez-vous connaĂźtre un secret ? Les miracles se produisent quand quelqu'un n'est pas prĂȘt Ă  affronter une certaine situation, et qu'il doit alors crier Ă  Dieu pour recevoir l'aide dont il a besoin ! Voici un autre secret Vous ne serez jamais prĂȘt ! Vous ne serez jamais capable de guĂ©rir un homme Ă  la main sĂšche, de ressusciter quelqu'un d'entre les morts, de fendre une mer en deux, ou de briser les chaĂźnes qui enserrent le cƓur d'un pĂ©cheur. Seul Dieu peut faire tout cela ! Avec Dieu, c'est tout ou rien ! Si nous n'avons pas toute Sa puissance, nous n'avons aucune puissance ! Dieu manifeste Sa puissance au travers d'hommes comme MoĂŻse, qui a dit "Pas moi, Seigneur, je ne suis pas prĂȘt Ă  faire ce que Tu me demandes !" Peut-ĂȘtre avons-nous une fausse conception de la puissance de Dieu. Dieu ne vous donne pas Sa puissance simplement pour faire de vous quelqu'un de puissant. Dieu vous donne Sa puissance, ou, plus exactement, Il manifeste sa puissance au travers de vous, pour que vous puissiez aider les autres. Vous n'ĂȘtes rien d'autre qu'un canal ! Dieu cherche surtout des hommes et des femmes qui acceptent d'ĂȘtre des "temples mobiles" de Son Saint-Esprit ! Des hommes et des femmes qui iront avec Dieu au cƓur de la bataille pour proclamer Ă  l'humanitĂ© "Voici le salut de Dieu !" Et qui diront ensuite Ă  Dieu "D'accord, PĂšre, sois glorifiĂ© !" Quand vous serez prĂȘt, cela ne vous fera pas resplendir ni flotter dans l'air ! Vous serez nerveux et craintifs, et vous aurez une sensation bizarre au creux de l'estomac, jusqu'Ă  ce que vous vous lanciez, pour faire ce que vous sentirez que vous devez faire ! Au cours des dix derniĂšres annĂ©es, nous avons sans doute reçu, de la part d'hommes de Dieu, plus d'enseignements que jamais auparavant dans l'histoire de l'Eglise. Nous pouvons discuter de toutes sortes de doctrines vagues, jusque dans les moindres dĂ©tails, mais en oubliant pourquoi nous avons reçu les Ecritures, et pourquoi nous avons des ministĂšres. "Toute Ecriture est inspirĂ©e de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice" 2 TimothĂ©e 3 16. Pourquoi ? "Afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre Ă  toute bonne Ɠuvre" verset 17. "Je t'en conjure devant Dieu et devant JĂ©sus-Christ, qui doit juger les vivants et les morts, et au nom de son apparition et de son royaume, prĂȘche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et en instruisant" 2 TimothĂ©e 4 1-2. Peut-ĂȘtre dites-vous que vous ĂȘtes en train de vous prĂ©parer en Ă©tudiant la Parole, et en Ă©coutant des enseignants qui vous enseignent la Parole. Il y a un temps pour Ă©tudier, mais vous Ă©tudiez PENDANT que vous travaillez pour le Seigneur ! La volontĂ© de Dieu pour nous, c'est PRIER + ETUDIER + AGIR. Quand JĂ©sus a appelĂ© Ses disciples, Il leur a demandĂ© de s'engager immĂ©diatement Ă  Le suivre et Ă  L'accompagner. Ils ont dĂ» tout quitter et ont appris de Lui pendant la marche avec Lui. Ils n'ont pas dĂ» apprendre AVANT de partir avec Lui. Dans cet article, je ne m'adresse pas Ă  des nouveaux convertis. Pourtant, ce sont probablement eux qui rĂ©pondront Ă  mon appel. Je veux parler Ă  ces ChrĂ©tiens auxquels s'adresse HĂ©breux 5 12-14 "Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez ĂȘtre des maĂźtres, vous avez encore besoin qu'on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu, vous en ĂȘtes venus Ă  avoir besoin de lait et non d'une nourriture solide. Or, quiconque en est au lait n'a pas l'expĂ©rience de la parole de justice ; car il est un enfant. Mais la nourriture solide est pour les hommes faits, pour ceux dont le jugement est exercĂ© par l'usage Ă  discerner ce qui est bien et ce qui est mal." Par la plume de l'auteur de l'Ă©pĂźtre aux HĂ©breux, c'est le Saint-Esprit qui affirme que si vous ne savez pas encore utiliser efficacement la Parole de Dieu, c'est que vous ĂȘtes encore un bĂ©bĂ©. Mais si vous avez appris, par l'usage, Ă  discerner ce qui est bien et ce qui est mal, alors vous avez atteint la maturitĂ©, et vous ĂȘtes prĂȘt Ă  travailler dans le Royaume de Dieu. Au chapitre 6 de l'Ă©pĂźtre aux HĂ©breux, aux versets 1 et 2, l'auteur parle de notre progression vers la perfection et la pleine maturitĂ©. Il nous dit que si nous avons acquis une bonne comprĂ©hension des doctrines fondamentales, nous sommes prĂȘts Ă  tendre Ă  ce qui est parfait. Qu'est-ce que la perfection ? Regardons ce que JĂ©sus a dit. Matthieu 19 16 nous dĂ©crit l'histoire du jeune homme riche, qui s'est adressĂ© Ă  JĂ©sus en ces termes "MaĂźtre, que dois-je faire de bon pour avoir la vie Ă©ternelle ?" Notez ici que sa question concerne la vie Ă©ternelle, et non pas les conditions pour devenir apĂŽtre. JĂ©sus lui dit d'observer les commandements. Le jeune homme Lui rĂ©pondit qu'il avait observĂ© tout cela. Mais il lui manquait encore quelque chose dans sa vie spirituelle. JĂ©sus lui dit "Si tu veux ĂȘtre parfait, va, vends ce que tu possĂšdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trĂ©sor dans le ciel. Puis viens, et suis-moi" verset 21. Voyez-vous, quand vous pouvez utiliser la Parole de Dieu dans votre vie quotidienne, quand vous savez ce qu'elle dit et que vous pouvez utiliser la Parole comme une Ă©pĂ©e, pour vaincre toute opposition, alors il est temps pour vous de vous lancer, pour tendre Ă  la perfection et croĂźtre dans cette stature parfaite. Voici ce que JĂ©sus voulait dire Ă  ce jeune homme "Tu connais tous les principes de la Parole de Dieu. A prĂ©sent, lance-toi, apprends Ă  les appliquer dans ta vie, et apprends aux autres Ă  le faire." En vendant toutes ses richesses, cet homme n'allait pas atteindre immĂ©diatement la perfection, mais il aurait un trĂ©sor dans le Ciel. Pour ĂȘtre parfait, il lui fallait atteindre le point oĂč il accepterait d'abandonner toute sĂ©curitĂ© humaine, pour apprendre Ă  se confier en Dieu seul. C'est cela la perfection. Ce que nous devons remarquer ici, c'est que ce jeune homme riche, en fait, Ă©tait appelĂ© Ă  ĂȘtre apĂŽtre. Son nom devait probablement ĂȘtre trĂšs connu dans cette rĂ©gion. Mais il a regardĂ© en arriĂšre, aprĂšs avoir mis la main Ă  la charrue. Il a refusĂ© l'appel de Dieu pour sa vie. A cause de cela, nous ne connaissons mĂȘme pas son nom, alors que les noms de ceux qu'il a refusĂ© de rejoindre sont parmi les plus connus dans le monde entier ! L'Ecriture dit qu'il s'en est allĂ© tout triste, car il avait de grands biens. Est-ce votre cas ? Est-ce que vous vous en allez tout triste, parce que vous avez de grands biens ? Ou bien ĂȘtes-vous retenu par votre entreprise, votre travail, vos sĂ©curitĂ©s ? Il faut absolument que vous sachiez Ă  quelles sources vous vous abreuvez, car il y va de votre destinĂ©e Ă©ternelle. Vous ne pouvez pas servir deux maĂźtres. J'ose dire que vous n'avez pas autant de choses Ă  abandonner que ce jeune homme riche. Le jeune homme riche a abandonnĂ© JĂ©sus Ă  cause de ses "grands biens." Judas L'a trahi pour trente piĂšces d'argent. Qu'est-ce qui vous empĂȘche de rĂ©pondre Ă  l'appel du Seigneur ? Votre salaire mensuel ? Votre travail, vos sĂ©curitĂ©s, vos amis ? Je ne dis pas que tous les ChrĂ©tiens devraient tout quitter pour aller sur les routes, voyager et prĂȘcher de ville en ville. Mais je ne dis pas non plus qu'ils ne devraient pas le faire ! Je peux lancer cet appel, parce que je sais que ceux qui sont appelĂ©s par Dieu Ă  faire cela ne seront pas plus nombreux Ă  Lui rĂ©pondre que tous ceux qu'Il appelle au salut. Mais si je peux inciter une ou deux personnes de plus Ă  s'engager de la sorte, ce sont toujours une ou deux personnes qui vont faire ce qu'elles n'auraient pas fait autrement, si elles n'avaient pas entendu mon appel. Cela valait donc la peine de le faire ! Qu'obtenez-vous rĂ©ellement en Ă©change de la vie que vous passez chaque jour dans votre entreprise ou sur votre lieu de travail ? Est-ce que ce que vous obtenez en vaut rĂ©ellement la peine ? Tant que nous sommes sur ce thĂšme, permettez-moi de vous poser cette question "Les responsabilitĂ©s que vous exercez sont-elles si uniques, si grandes et si particuliĂšres, que des multitudes n'attendent que votre dĂ©part pour se prĂ©cipiter Ă  votre place tant convoitĂ©e ?" Si vous abandonnez votre position, pensez-vous qu'elle soit tellement bonne que vous n'aurez jamais plus l'occasion d'en retrouver une autre semblable ? Quelles sont vos excuses ? Auront-elles du poids le Jour du Jugement ? Pour revenir aux conditions Ă  remplir pour ĂȘtre prĂȘt, beaucoup de gens continuent Ă  invoquer l'excuse qu'ils doivent rester se chauffer dans les "serres spirituelles" de Dieu, parce qu'ils sont dans une pĂ©riode de croissance. . Mais, tout en disant cela, ils restent assis Ă  ne rien faire, si ce n'est pour prendre soin d'eux-mĂȘmes. Rappelez-vous que le cƓur du Christianisme, c'est la mort Ă  soi-mĂȘme pour bĂ©nir les autres. Rien ne pousse spontanĂ©ment. Pour croĂźtre, il nous faut du travail ou de l'exercice. Si vous mangez une nourriture saine, mais sans jamais faire d'exercice, vous ne vous fortifierez pas, vous allez simplement vous engraisser. Sur le plan spirituel, il en est de mĂȘme. Vous pouvez Ă©tudier tant que vous le voudrez, mais si vous ne sortez pas pour mettre en pratique ce que vous avez Ă©tudiĂ©, vous ne grandirez pas. Ceux qui apprennent sans jamais mettre en pratique ne sont que des thĂ©oriciens. En d'autres termes, ils connaissent bien la thĂ©orie, mais pas la rĂ©alitĂ©. Nous disons en gĂ©nĂ©ral qu'il s'agit d'une connaissance qui est dans la tĂȘte, et pas dans le cƓur. Quand vous accumulez des connaissances dans votre tĂȘte, vous apprenez beaucoup de choses, mais ce ne sont pas ces choses qui gouvernent vos actions. La connaissance qui vient du cƓur, c'est celle-lĂ  qui gouverne vos actions. La thĂ©orie et la connaissance intellectuelle ne deviennent rĂ©alitĂ©s et ne passent dans notre cƓur que lorsque nous les mettons en pratique. La Bible parle de ceux qui Ă©coutent, mais qui ne mettent pas en pratique. Selon Jacques 1 22, ceux qui Ă©coutent et ne mettent pas en pratique se sĂ©duisent eux-mĂȘmes. Comment peuvent-ils se sĂ©duire eux-mĂȘmes ? Parce qu'ils restent au niveau de la thĂ©orie. Quand vous restez au niveau de la thĂ©orie, il vous est facile de changer ces thĂ©ories pour vous arranger. Mais quand vous passez Ă  la pratique, vous ne tardez pas Ă  voir quelles sont les thĂ©ories qui marchent, et quelles sont celles qui ne marchent pas ! JĂ©sus a dit que ceux qui Ă©coutent Ses paroles et qui les mettent en pratique sans se contenter d'en parler, sont semblables Ă  ceux qui ont bĂąti leur maison sur de solides fondations rien ne peut les dĂ©truire. Mais ceux qui Ă©coutent Ses paroles et qui ne les mettent pas en pratique, mĂȘme s'ils en parlent, n'auront jamais la victoire. Nous devons marcher Ă  la lumiĂšre des connaissances que nous avons. Dans Matthieu 7 24-27, JĂ©sus parle de ces personnes dont nous venons de parler "C'est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable Ă  un homme prudent qui a bĂąti sa maison sur le roc. La pluie est tombĂ©e, les torrents sont venus, les vents ont soufflĂ© et se sont jetĂ©s contre cette maison elle n'est point tombĂ©e, parce qu'elle Ă©tait fondĂ©e sur le roc. Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera semblable Ă  un homme insensĂ© qui a bĂąti sa maison sur le sable. La pluie est tombĂ©e, les torrents sont venus, les vents ont soufflĂ© et ont battu cette maison elle est tombĂ©e, et sa ruine a Ă©tĂ© grande." JĂ©sus dit encore, dans Matthieu 5 29 " Car on donnera Ă  celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais Ă  celui qui n'a pas on ĂŽtera mĂȘme ce qu'il a." C'est donc simple nous devons utiliser ce que nous avons reçu, sinon nous allons tout perdre. D'aprĂšs toutes les apparences, David n'Ă©tait pas "prĂȘt" Ă  affronter ce guerrier gĂ©ant en combat singulier. Mais, en rĂ©alitĂ©, il Ă©tait prĂȘt, parce qu'il savait qu'il Ă©tait revĂȘtu de l'onction divine, et qu'il avait compris quel Ă©tait le besoin. Il dit Ă  SaĂŒl "Que personne ne se dĂ©courage Ă  cause de ce Philistin ! Ton serviteur ira se battre avec lui" 1 Samuel 17 32. Dieu n'envoya pas un guerrier comme SaĂŒl, revĂȘtu de toute son armure, mais Il choisit un jeune garçon vĂȘtu d'un pagne. Quand un grand guerrier terrasse un autre grand guerrier, c'est un grand guerrier qui en retire la gloire. Mais si un jeune garçon terrasse un grand guerrier, c'est Dieu qui en retire la gloire ! Voici la clef pour ĂȘtre prĂȘt avoir l'Esprit de Dieu qui demeure en vous dans votre faiblesse, et qui Se sert de votre faiblesse pour dĂ©faire les gĂ©ants de votre ennemi, Satan. C'est Dieu qui en retirera alors la gloire, et pas vous ! Certaines manifestations particuliĂšrement fortes de la puissance de Dieu se sont produites dans la vie d'hommes tels que Smith Wigglesworth, qui a dit "Un homme rempli de l'Esprit de Dieu ne devrait jamais dire "Je ne peux pas !"" Il a aussi dit "Je veux vous aider Ă  dĂ©cider que, par la puissance de Dieu, vous ne serez jamais un homme ordinaire !" Et encore ceci "Si vous priez Dieu qu'Il vous donne Sa puissance, aprĂšs avoir reçu Saint-Esprit, c'est faire de Dieu un menteur !" John G. Lake, un autre grand homme de Dieu, a dit "La puissance de Dieu est comme l'Ă©lectricitĂ©. Elle peut passer par n'importe quel objet. Mais c'est la foi qui est importante, car c'est la foi qui dirige la puissance de Dieu." Aujourd'hui, les gens Ă©coutent des cassettes, lisent des livres et Ă©tudient pendant des heures. Ils se disent "Je commence Ă  comprendre comment la foi agit !" Ils peuvent citer les Ecritures, donner les rĂ©fĂ©rences des passages bibliques et des livres, apprendre par cƓur les numĂ©ros des chapitres et des versets oĂč se trouvent ces passages. Mais quand il s'agit de faire quelque chose avec toute la foi qu'ils pensent avoir, c'est une autre histoire ! Nous sommes souvent plus intĂ©ressĂ©s Ă  prouver une doctrine, plutĂŽt que d'aider ceux qui ont besoin d'aide. Nous parlons facilement de la foi, mais dĂšs qu'il s'agit de marcher par la foi, nous commençons brusquement Ă  reculer, en disant "Dieu m'a simplement appelĂ© Ă  prier !" En gĂ©nĂ©ral, ceux qui disent cela ne prient mĂȘme pas, ils invoquent cela pour excuser le fait qu'ils ne font rien. Mais la Bible dit que JĂ©sus est notre exemple. Il est Ă©crit dans Actes 1 1 "ThĂ©ophile, j'ai parlĂ©, dans mon premier livre, de tout ce que JĂ©sus a commencĂ© de faire et d'enseigner dĂšs le commencement
" JĂ©sus a fait et enseignĂ©. Nous aussi, faisons de mĂȘme ! Nous sommes prĂȘts Ă  pousser des nouveaux convertis Ă  tĂ©moigner sans tarder. Nous entendons par lĂ  "parler aux autres de JĂ©sus, et leur expliquer pourquoi et comment ils peuvent ĂȘtre sauvĂ©s." "TĂ©moigner" est un terme technique, qui signifie "produire des preuves irrĂ©futables concernant une personne ou un Ă©vĂ©nement." Pourtant, nous n'imaginerions pas pousser des nouveaux convertis Ă  prĂȘcher ou Ă  guĂ©rir des malades. Les apĂŽtres n'avaient passĂ© avec JĂ©sus qu'un ou deux ans, avant qu'Il commence Ă  les envoyer seuls, c'est-Ă -dire sans Sa prĂ©sence personnelle. Quand Il les a envoyĂ©s, Il leur a demandĂ©, non seulement de prĂȘcher la bonne nouvelle du Royaume de Dieu, mais aussi de guĂ©rir les malades, de purifier les lĂ©preux, de ressusciter les morts, et de chasser les dĂ©mons. Notez bien qu'Il ne leur a pas demandĂ© de "prier pour les malades," mais de "guĂ©rir les malades" ! Quand les douze ont Ă©tĂ© envoyĂ©s pour prĂȘcher l'Evangile, bientĂŽt suivis par soixante-dix autres, ils ont rencontrĂ© un succĂšs complet. Mais ils ont fini par rencontrer un homme qui chassait les dĂ©mons au Nom de JĂ©sus, et ils lui ont demandĂ© d'arrĂȘter. Non pas parce qu'il faisait des erreurs, ni parce que JĂ©sus ne l'avait pas envoyĂ©, mais uniquement "parce qu'il ne nous suit pas" Luc 9 49. DĂ©jĂ , Ă  cette Ă©poque, la tĂȘte hideuse de l'esprit de dĂ©nomination commençait Ă  se lever. Mais la rĂ©ponse de JĂ©sus fut sans doute la chose la plus remarquable de ce rĂ©cit. Notez que JĂ©sus n'a pas dit "Quel est son nom ? Est-ce que je le connais ? Est-ce que je lui ai demandĂ© de faire cela ?" Dans sa rĂ©ponse, JĂ©sus a repris l'apĂŽtre Jean, et lui a dit "Ne l'en empĂȘchez pas, car qui n'est pas contre vous est pour vous" verset 50. Remarquez aussi que cet homme, apparemment, a dĂ©cidĂ© lui-mĂȘme de se lancer dans ce ministĂšre, car JĂ©sus, autant que nous pouvons le savoir, ne connaissait rien de lui. Si cela est vrai, c'est la preuve biblique que nous n'avons pas besoin de recevoir un appel spĂ©cifique pour commencer Ă  exercer un ministĂšre. Il y a de nombreux passages de l'Ecriture oĂč JĂ©sus demande Ă  Ses disciples d'aller, mais il n'y en a qu'un oĂč Il leur demande d'attendre. MĂȘme dans ce cas, les disciples n'ont pas eu Ă  attendre longtemps pour recevoir la puissance requise par Dieu pour ĂȘtre Ses vĂ©ritables tĂ©moins. Aucun passage de l'Ecriture ne nous demande, ni mĂȘme ne nous suggĂšre, de rester chez nous, juste pour Ă©tudier et nous nourrir nous-mĂȘmes, sans jamais rien partager avec les autres. MĂȘme si vous pouviez ĂȘtre sauvĂ© dĂšs l'Ăąge d'un an, ĂȘtre rempli de l'Esprit Ă  deux ans, et ĂȘtre envoyĂ© Ă  l'Ăąge de trois ans pour prĂȘcher l'Evangile, et mĂȘme si vous viviez jusqu'Ă  soixante-dix ans, vous n'auriez jamais le temps de prĂȘcher l'Evangile Ă  toute crĂ©ature vivant dans le monde ! Vous mourriez sans avoir accompli l'ordre donnĂ© par JĂ©sus dans Matthieu 28 18-20. JĂ©sus ne vous demande pas de faire plus que vous ne pouvez faire, mais Il attend, et exige, que vous fassiez tout ce que vous pouvez faire. Avec Lui, vous pouvez tout faire ! Philippiens 4 13. Jacques 4 17 nous dit que "celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un pĂ©chĂ©." Dans Marc 5 1-20, nous voyons que JĂ©sus, descendant d'une barque, rencontra un homme possĂ©dĂ© qui courut vers Lui, et qui fut dĂ©livrĂ©. DĂšs que cet homme fut dĂ©livrĂ©, il supplia JĂ©sus de lui permettre de L'accompagner. Aujourd'hui, pour la plupart des ChrĂ©tiens, c'est JĂ©sus qui devrait les supplier de L'accompagner !. Mais JĂ©sus rĂ©pondit Ă  cet homme "Va dans ta maison, vers les tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur t'a fait, et comment il a eu pitiĂ© de toi" verset 19. Au verset 20, nous voyons que cet homme, qui, peu de temps auparavant, Ă©tait complĂštement possĂ©dĂ©, s'en alla prĂȘcher partout dans une rĂ©gion de dix villes, appelĂ©e DĂ©capole. Cet homme fut immĂ©diatement envoyĂ© pour tĂ©moigner. Il n'Ă©tait passĂ© par aucune Ă©cole biblique et n'avait reçu aucune formation. Il dut instantanĂ©ment exercer son ministĂšre, armĂ© simplement du "tĂ©moignage" de ce que Dieu avait fait pour lui. C'est le plus grand message que vous puissiez apporter ! En somme, ce qui lui Ă©tait demandĂ©, c'Ă©tait de commencer un groupe de maison, tout en tĂ©moignant dans toute cette rĂ©gion de dix villes, proches de son lieu de rĂ©sidence. Il ne s'est pas contentĂ© de rester chez lui pour y organiser une petite rĂ©union de tĂ©moignage de deux minutes. Vous ĂȘtes peut-ĂȘtre converti depuis cinq ans, rempli du Saint-Esprit depuis trois ans, et vous Ă©tudiez constamment la Bible, mais vous n'ĂȘtes pas encore prĂȘt ! Si cela est vrai, vous ressemblez Ă  ceux que Paul dĂ©crit dans 2 TimothĂ©e 3 7 "apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver Ă  la connaissance de la vĂ©ritĂ©." Vous me direz que cela ne vous concerne pas, parce que les versets prĂ©cĂ©dents parlent de choses que vous ne pratiqueriez jamais. Mais je continue Ă  penser que vous ĂȘtes concernĂ© par les versets 2 et 4 "Car les hommes seront Ă©goĂŻstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains" verset 2. Vous ĂȘtes Ă©goĂŻste et vous aimez votre confort, et c'est pour cela que vous aimez l'argent. Vous cherchez vos aises et un bon statut social, et vous voulez avoir ce que les autres possĂšdent. Vous ĂȘtes un fanfaron pour ce qui concerne votre connaissance des Ecritures et un hautain ou un orgueilleux, parce que vous pensez que vous n'ĂȘtes pas comme ceux qui ne croient pas en toute la Bible. "Aimant le plaisir plus que Dieu" verset 4. Vous aimez votre plaisir, votre confort et vos aises plus que Dieu. C'est tellement Ă©vident que cela ne mĂ©rite aucun commentaire. Nous ressemblons souvent Ă  ceux que dĂ©crit Keith Green dans l'une de ses chansons "JĂ©sus S'est relevĂ© d'entre les morts, mais nous ne pouvons mĂȘme pas nous lever de notre lit !" Aujourd'hui, dans l'Eglise moderne, nous faisons souvent une distinction entre "ceux qui sont dans le ministĂšre" et les "laĂŻcs," ou entre "les pasteurs ou ceux qui sont Ă  plein temps" et "les ChrĂ©tiens ordinaires." Mais relisons EphĂ©siens 4 11-13 "Et il a donnĂ© les uns comme apĂŽtres, les autres comme prophĂštes, les autres comme Ă©vangĂ©listes, les autres comme pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints en vue de l'Ɠuvre du ministĂšre et de l'Ă©dification du corps de Christ, jusqu'Ă  ce que nous soyons tous parvenus Ă  l'unitĂ© de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, Ă  l'Ă©tat d'homme fait, Ă  la mesure de la stature parfaite de Christ." Ce passage montre clairement que l'objectif principal de ceux qui exercent un "ministĂšre" est de former d'autres ministĂšres capables d'annoncer l'Evangile, et non de se donner en spectacle devant des auditeurs passifs ! Si l'on en croit les louanges adressĂ©es aujourd'hui Ă  certains "ministĂšres" louanges qu'ils s'adressent en gĂ©nĂ©ral Ă  eux-mĂȘmes, on pourrait penser que ces ministĂšres produisent des gĂ©ants spirituels. En rĂ©alitĂ©, ils ne produisent que des nains spirituels, qui ont de grosses tĂȘtes, mais de petits cƓurs. Ils correspondent Ă  ceux qui sont dĂ©crits dans Apocalypse 3 17 "Parce que tu dis Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misĂ©rable, pauvre, aveugle et nu
" Le Corps de Christ a besoin de voir en face les problĂšmes, les dĂ©ficiences et l'hypocrisie qui existent en son sein. Il doit faire quelque chose pour changer tout cela, et pas se contenter de l'ignorer, en espĂ©rant que cela s'arrangera tout seul. Je le rĂ©pĂšte, ĂȘtre prĂȘt signifie que nous avons purifiĂ© nos actions. Si nous ne pouvons pas le faire par nos propres forces, nous devons nous mettre devant Dieu et ĂȘtre dĂ©terminĂ© Ă  ne pas bouger de lĂ  tant que notre problĂšme ne sera pas rĂ©solu. Si nous n'offrons pas des solutions rĂ©elles au monde qui nous entoure, ce sont les sectes qui lui offriront leurs mensonges, en les faisant passer pour la vĂ©ritĂ©. Dieu nous a donnĂ© le ministĂšre de la rĂ©conciliation ! Certains peuvent ĂȘtre appelĂ©s Ă  exercer ce ministĂšre en Afrique ou en Asie, et d'autres peuvent mĂȘme ĂȘtre appelĂ©s Ă  l'exercer envers leurs proches voisins ! LAppel de Dieu 3 Dieu Ă©tablit ce type de rapport avec l’ancien IsraĂ«l quand Il dit : « Je marcherai au milieu de vous, je serai votre Dieu, et vous serez mon peuple.» (LĂ©vitique 26:12) Luc 532 Je ne suis pas venu appeler Ă  la repentance des justes, mais des pĂ©cheurs. 1 Pierre 29 Vous, au contraire, vous ĂȘtes une race Ă©lue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelĂ©s des tĂ©nĂšbres Ă  son admirable lumiĂšre. Marc 217 Le Seigneur JĂ©sus a dit Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de mĂ©decin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pĂ©cheurs ». Matthieu 2214 Le Seigneur JĂ©sus a dit Car il y a beaucoup d’appelĂ©s, mais peu d’élus ». Actes 238-39 Pierre a dit Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisĂ© au nom de JĂ©sus Christ, pour le pardon de vos pĂ©chĂ©s ; et vous recevrez le don du Saint Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera ». Romains 828-30 Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelĂ©s selon son dessein. Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prĂ©destinĂ©s Ă  ĂȘtre semblables Ă  l’image de son Fils, afin que son Fils fĂ»t le premier-nĂ© entre plusieurs frĂšres. Et ceux qu’il a prĂ©destinĂ©s, il les a aussi appelĂ©s ; et ceux qu’il a appelĂ©s, il les a aussi justifiĂ©s ; et ceux qu’il a justifiĂ©s, il les a aussi glorifiĂ©s. Colossiens 313-15 Supportez-vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous rĂ©ciproquement. De mĂȘme que Christ vous a pardonnĂ©, pardonnez-vous aussi. Mais par-dessus toutes ces choses revĂȘtez-vous de la charitĂ©, qui est le lien de la perfection. Et que la paix de Christ, Ă  laquelle vous avez Ă©tĂ© appelĂ©s pour former un seul corps, rĂšgne dans vos coeurs. Et soyez reconnaissants. 1 Thessaloniciens 417 Car Dieu ne nous a pas appelĂ©s Ă  l’impuretĂ©, mais Ă  la sanctification. 2 Pierre 13-10 Comme sa divine puissance nous a donnĂ© tout ce qui contribue Ă  la vie et Ă  la piĂ©tĂ©, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelĂ©s par sa propre gloire et par sa vertu, lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus prĂ©cieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise, Ă  cause de cela mĂȘme, faites tous vos efforts pour joindre Ă  votre foi la vertu, Ă  la vertu la science, Ă  la science la tempĂ©rance, Ă  la tempĂ©rance la patience, Ă  la patience la piĂ©tĂ©, Ă  la piĂ©tĂ© l’amour fraternel, Ă  l’amour fraternel la charitĂ©. Car si ces choses sont en vous, et y sont avec abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stĂ©riles pour la connaissance de notre Seigneur JĂ©sus Christ. Mais celui en qui ces choses ne sont point est aveugle, il ne voit pas de loin, et il a mis en oubli la purification de ses anciens pĂ©chĂ©s. C’est pourquoi, frĂšres, appliquez-vous d’autant plus Ă  affermir votre vocation et votre Ă©lection ; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. 1 TimothĂ©e 612 Combats le bon combat de la foi, saisis la vie Ă©ternelle, Ă  laquelle tu as Ă©tĂ© appelĂ©, et pour laquelle tu as fait une belle confession en prĂ©sence d’un grand nombre de tĂ©moins. HĂ©breux 31 C’est pourquoi, frĂšres saints, qui avez part Ă  la vocation cĂ©leste, considĂ©rez l’apĂŽtre et le souverain sacrificateur de la foi que nous professons. Galates 513 FrĂšres, vous avez Ă©tĂ© appelĂ©s Ă  la libertĂ©, seulement ne faites pas de cette libertĂ© un prĂ©texte de vivre selon la chair ; mais rendez-vous, par la charitĂ©, serviteurs les uns des autres. EphĂ©siens 41 Je vous exhorte donc, moi, le prisonnier dans le Seigneur, Ă  marcher d’une maniĂšre digne de la vocation qui vous a Ă©tĂ© adressĂ©e. 1 Pierre 115 Mais, puisque celui qui vous a appelĂ©s est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite. Paroles de Dieu concernĂ©es Le grondement des sept tonnerres qui se produisent est le salut de ceux qui M’aiment, qui Me dĂ©sirent avec un vrai cƓur. Ceux qui M’appartiennent et que J’ai prĂ©destinĂ©s et choisis sont tous capables de venir sous Mon nom. Ils peuvent entendre Ma voix qui est l’appel que Dieu leur lance. Laissez ceux qui sont aux confins de la terre voir que Je suis juste, Je suis fidĂšle, Je suis tendre misĂ©ricorde, Je suis compassion, Je suis majestĂ©, Je suis un feu dĂ©vorant et, enfin, Je suis un jugement impitoyable. Chapitre 35 Les« "guetteurs" que Dieu appelle » - Grandes lignes de la nature et de l’exercice de ce charisme. M. R. Macina. Download Download PDF. Full PDF Package Download Full PDF Package. This Paper. A short summary of this paper. 37 VolontĂ© de Dieu? VolontĂ© de l’ĂȘtre humain? PlutĂŽt celle d’une rencontre, d’une communion de deux libertĂ©s qui se retrouvent dans une Ɠuvre commune. Ce texte reprend les grandes lignes d’un article de Michel Rondet intilutĂ© Dieu a-t-il sur chacun une volontĂ© particuliĂšre? », revue Christus Hors-SĂ©rie no. 153, FĂ©vrier 1992. Introduction Dieu a-t-il dĂ©terminĂ©, en dehors de nous et pour nous, un programme prĂ©cis qu’il nous faudrait dĂ©couvrir et accomplir? La Bible atteste de nombreux exemples oĂč des ĂȘtres humains Abraham, MoĂŻse, JĂ©rĂ©mie, Pierre, Paul, etc. ont Ă©tĂ© appelĂ©s Ă  une vie nouvelle, pour une mission prĂ©cise qui semble correspondre Ă  une volontĂ© particuliĂšre de Dieu sur eux. Et pourtant
 bien des interrogations nous viennent Ă  l’esprit quand on considĂšre la question d’une volontĂ© particuliĂšre de Dieu sur nous Il y a des jours oĂč nous aimerions bien pouvoir connaĂźtre la volontĂ© prĂ©cise de Dieu sur nous nous avons beau prier, demander et implorer
 Dieu semble bien souvent silencieux ». À d’autres moments, un goĂ»t de libertĂ© et d’autonomie, au nom mĂȘme du sentiment que nous avons de notre dignitĂ©, s’objecte Ă  ce que quelqu’un d’autre, fut-il Dieu, dĂ©cide pour nous de ce que nous devrions faire de notre vie. Si Dieu a une volontĂ© prĂ©cise sur nous, l’expĂ©rience nous montre qu’elle est difficile Ă  connaĂźtre avec certitude. L’angoisse nous prend peur de nous tromper, peur des consĂ©quences d’un mauvais choix, peur de manquer irrĂ©mĂ©diablement notre vie. Un Dieu qui jouerait sciemment Ă  cache-cache avec nous sur des sujets aussi importants que celui de notre bonheur et du sens Ă  notre vie, ne mĂ©riterait pas vraiment le qualificatif de bon ». Un appel Ă  choisir soi-mĂȘme Les personnes avisĂ©es en accompagnement spirituel affirment que les projets de Dieu sur nous, ne se prĂ©sentent pas, tels quels, grĂące Ă  un discernement. PlutĂŽt, la dĂ©marche de discernement spirituel nous dispose Ă  reconnaĂźtre au sein mĂȘme de notre propre volontĂ© oĂč volontĂ© Ă©gal dĂ©sir les dĂ©sirs qui vont dans le sens de l’Esprit de Dieu. Comme le dit Michel Rondet, La volontĂ© de Dieu ce n’est pas d’abord que tu choisisses ceci ou cela; c’est que tu en fasses bon usage, que tu choisisses toi-mĂȘme, au terme d’une rĂ©flexion loyale, libĂ©rĂ©e de l’égoĂŻsme comme de la peur, la maniĂšre la plus fĂ©conde, la plus heureuse de rĂ©aliser ta vie. Compte tenu de ce que tu es, de ton passĂ©, de histoire, des rencontres que tu as faites, de la perception que tu peux avoir des besoins de l’Église, et du monde, quelle rĂ©ponse personnelle peux-tu donner aux appels que tu as perçus dans l’Évangile? Ce que Dieu attend de toi, ce n’est pas que tu choisisses telle ou telle voie qu’il aurait prĂ©vue de toute Ă©ternitĂ© pour toi, c’est que tu inventes aujourd’hui ta rĂ©ponse Ă  sa prĂ©sence et Ă  son appel! » Un appel Ă  une crĂ©ation commune Dieu est amour » dira saint Jean 1 Jn 4,16. L’amour se propose toujours et ne s’impose jamais » dira Zundel. L’amour ne traite jamais l’autre comme un objet ou un exĂ©cutant. L’amour trinitaire, communion intime du PĂšre, du Fils et de l’Esprit, est Ă  l’image de son ĂȘtre mĂȘme, dĂ©sir d’alliance et de communion. LibertĂ© par excellence, Dieu ne peut s’adresser qu’à des personnes qu’il dĂ©sire libres. Le PĂšre devant qui nous sommes n’est donc pas cet ordinateur surpuissant capable de programmer et de tenir en mĂ©moire des milliards de destinĂ©es individuelles et qu’il nous faudrait interroger avec crainte et tremblement sur notre avenir. C’est l’Amour qui a pris le risque de nous appeler Ă  la vie, semblables et diffĂ©rents, pour nous offrir l’alliance et la communion. C’est Ă  ce visage de Dieu qu’il faut nous convertir si nous voulons pouvoir nous situer en vĂ©ritĂ© devant la volontĂ© de Dieu. Nous le reconnaĂźtrons alors non plus comme un diktat ou une fatalitĂ©, mais comme un appel Ă  une crĂ©ation commune. » Michel Rondet L’Évangile ne nous dit pas ce qu’il faut faire, il nous appelle plutĂŽt Ă  la perfection de la charitĂ©. En rĂ©ponse Ă  l’appel de Dieu, nous sommes invitĂ©s Ă  crĂ©er une rĂ©ponse personnelle, en communion avec l’Esprit qui ne s’impose ni de dicte, mais qui est comme un souffle intĂ©rieur suscitĂ©e par l’accueil de la parole discrĂšte de Dieu. L’Amour suscite l’amour, la LibertĂ© Ă©veille la libertĂ© ainsi en est-il de Dieu Ă  notre Ă©gard. Les saints et saintes François d’Assise, Dominique, ThĂ©rĂšse de Lisieux, Charles de Foucauld, etc. sont uniques et inimitables, mais leurs vies sont pour nous autant d’appels Ă  inventer notre propre rĂ©ponse. Beaucoup plus qu’une programmation rigoureuse, ce qui caractĂ©rise la vie des saints, c’est la qualitĂ© d’une rĂ©action spirituelle aux Ă©vĂ©nements quels qu’ils soient, fussent-ils les plus inattendus. » Michel Rondet Une dĂ©cision qui donne vie Comment reconnaĂźtre si ma dĂ©cision rejoint la volontĂ© de Dieu? Si je peux dire qu’elle me rend plus libre. Si elle introduit dans ma vie cohĂ©rence et sens. Si elle unifie mon passĂ© en lui ouvrant un avenir. Si elle m’oriente Ă  rĂ©pondre Ă  un besoin Église, sociĂ©tĂ© qui me rejoint tout particuliĂšrement. Si elle me rend fĂ©cond. Si elle me rend heureux. Ayez le courage de faire ce que vous aimez le mieux » disait Maurice Zundel. Ce que l’on aime le mieux est ce que l’on aime le plus profondĂ©ment, oĂč notre dĂ©sir profond rejoint celui de Dieu. Seigneur, Toi qui connais le fond de mon cƓur, aide-moi Ă  dĂ©couvrir qui je suis et ce que je dĂ©sire rĂ©ellement, afin que je puisse choisir dans la ligne de mon ĂȘtre qui jaillit sans cesse de Ta Parole amoureuse et crĂ©atrice ». VolontĂ© de Dieu? VolontĂ© de l’ĂȘtre humain? PlutĂŽt celle d’une rencontre, d’une communion de deux libertĂ©s qui se retrouvent dans une Ɠuvre commune. Dieu est l’Emmanuel, Dieu-avec-nous. Aussi discerner la volontĂ© de Dieu sur ma vie, est-ce toujours m’interroger sur ma place dans le Corps du Christ. Non pas celle qui me serait assignĂ©e, mais celle que je peux, que je dĂ©sire prendre. Quel membre serai-je pour le bien de tout le Corps? LĂ  encore la rĂ©ponse m’appartient et Dieu l’attend de moi, gĂ©nĂ©reuse et neuve, pour se rĂ©jouir de ma solidaritĂ©, comme Il s’est rĂ©joui de ma libertĂ©. » Michel Rondet Revisiter notre vie sous son Regard C’est souvent en tentant de relire notre vie sous le regard de Dieu, en faisant mĂ©moire de son amour et de sa fidĂ©litĂ© pour nous, que nous deviendrons sensibles aux appels qu’il nous adresse. Plus qu’une volontĂ© prĂ©cise, exprimĂ©e en rĂšgle de vie, ces appels nous diront le dĂ©sir de Dieu, son attente et son espĂ©rance nous voir inventer peu Ă  peu notre rĂ©ponse. Nous pourrons donc accueillir sans angoisse les hĂ©sitations, les Ă©checs et les ambiguĂŻtĂ©s de nos choix. Comme le disait Emmanuel Mounier “Dieu est assez grand pour faire de nos erreurs mĂȘme, une vocation”. Il y a plusieurs demeures dans la maison du PĂšre, Dieu attend que nous y Ă©difions la nĂŽtre et Il est avec nous au travail. » Michel Rondet NoĂ«l soyons attentifs aux signes de la prĂ©sence de Dieu, invite Mgr Pizzaballa. Pour le patriarche latin de JĂ©rusalem, ces temps troublĂ©s, et par bien des aspects dĂ©concertants, placent les croyants face Ă  un choix: se laisser submerger par les fatigues du monde et ses logiques de pouvoir ou scruter la rĂ©alitĂ© avec «les yeux de l

S Signes Les signes sont des Ă©vĂ©nements ou des expĂ©riences qui dĂ©montrent le pouvoir de Dieu. Ils sont souvent miraculeux. Ils marquent et annoncent de grands Ă©vĂ©nements, comme la naissance du Sauveur, sa mort et sa seconde venue. Ils rappellent aux enfants de Dieu les alliances que le Seigneur a faites avec eux. Les signes peuvent aussi rendre tĂ©moignage d’un appel divin ou indiquer la dĂ©sapprobation du Seigneur. Le mot signe est aussi utilisĂ© dans les Écritures pour indiquer le souvenir d’un Ă©vĂ©nement qui ne doit pas ĂȘtre oubliĂ© voir Exode 131-10. Renseignements supplĂ©mentaires Les signes sont associĂ©s aux dons de l’Esprit. Ils sont souvent une indication de la foi en Dieu. JĂ©sus-Christ ressuscitĂ© a enseignĂ© Ă  ses disciples Les signes 
 accompagneront ceux qui auront cru » Marc 1617 ; voir aussi Mormon 924-25.Certaines personnes affirment qu’elles croiraient en Dieu ou en son Ɠuvre si elles pouvaient recevoir un signe. Mais la foi ne vient pas par les signes, elle vient par l’intermĂ©diaire du Saint-Esprit quand des personnes Ă©tudient les Écritures et cherchent, en priant, Ă  apprendre le plan de Dieu. Le Seigneur a rĂ©vĂ©lĂ© La foi ne vient pas par les signes, mais les signes suivent ceux qui croient » D&A 639. De tels signes sont donnĂ©s aux personnes qui sont fidĂšles et obĂ©issantes pour les fortifier dans leur foi et les aider Ă  accomplir la volontĂ© de que les signes sont associĂ©s Ă  la fidĂ©litĂ©, les incroyants se moquent souvent des croyants en demandant un signe. Lorsqu’il a tentĂ© JĂ©sus-Christ, satan a fait cette demande moqueuse voir Matthieu 43, 6, comme l’ont fait ceux qui ont crucifiĂ© le Christ voir Matthieu 2740, 42. JĂ©sus a enseignĂ© Une gĂ©nĂ©ration mĂ©chante et adultĂšre demande un miracle » Matthieu 1239. Les signes ne sont pas donnĂ©s pour produire la foi mais pour confirmer la foi et bĂ©nir ceux qui sont aussi Foi ; ObĂ©issance ; Seconde Venue de JĂ©sus-Christ— Voir AncrĂ©s dans la Foi, 2004, p. 183-184 Voir davantage Documentation d’étude supplĂ©mentaire Signe » Guide des Écritures

pervertirles signes de Dieu, en se les appropriant Ă  sa guise, au lieu de se laisser conduire avec confiance. C’est lĂ  que tout se joue. Mais le DĂ©mon peut brouiller les signes, parasiter leur signification. PĂšre RenĂ©-Luc : la parabole des Ă©toiles ou comment voir les signes de Dieu ? Lors des tentations du Christ au dĂ©sert (Lc 4, 1-13), le DĂ©mon demande des signes – prodigieux
EsaĂŻe 55 PremiĂšre saison La rencontre avec le Dieu qui Ă©tanche ma soif C’est une bonne nouvelle » qui inaugure notre premiĂšre saison avec Dieu Vous qui avez soif, venez ! » A tous les assoiffĂ©s du monde, assoiffĂ©s de justice, d’amour, de paix, de misĂ©ricorde, d’harmonie, de consolation
 Ă  tous les assoiffĂ©s que nous sommes, Dieu dit Venez ! » [ Bonne Nouvelle » est le synonyme du mot Évangile]. Il y a au fond de l’homme un vide qui a la forme de Dieu, observe Blaise Pascal. Comme une biche qui soupire sur le lit du torrent, ainsi je soupire aprĂšs toi, ĂŽ Dieu ! Ps L’homme cherche inlassablement Ă  combler ce vide avec ce qu’il a sous la main les distractions – le travail – ses activitĂ©s quotidiennes – ses loisirs – ses biens matĂ©riels – etc
 Or ces rĂ©ponses ne sont que des mirages qui ne peuvent pas combler la profondeur infinie de notre vide. Seul quelqu’un d’infini peut le combler. Pourquoi pesez-vous de l’argent pour ce qui ne nourrit pas ? Es Des siĂšcles plus tard, JĂ©sus reprendra pour lui la mĂȘme invitation. Le dernier jour, le grand jour de la fĂȘte, JĂ©sus, se tenant debout, s’écria Si quelqu’un a soif, qu’il vienne Ă  moi, et qu’il boive Jn voir aussi Ap Tendez l’oreille
 venez Ă  moi ; Ă©coutez, et vous vivrezEs Tout commence par une parole qui touche nos oreilles et notre cƓur. Tendez l’oreille ! Dans le brouhaha des discours prononcĂ©s dans la sociĂ©tĂ©, il y en a un, un seul qui vient de Dieu, tendez l’oreille pour le capter ! Mais il ne suffit pas d’entendre, il faut encore rĂ©pondre Ă  l’invitation de Dieu qui nous appelle Ă  venir Ă  lui. Toutes les autres reprĂ©sentations de Dieu dans notre monde prĂ©sentent un dieu qui Ă©dicte des rĂšgles morales ou exige des rites pour lui plaire Animisme, Islam, JudaĂŻsme, Hindouisme, 
. Seul le Dieu de la Bible nous dit Venez Ă  moi », pour construire avec lui une relation personnelle. Venez Ă  moi, car je veux conclure pour vous une alliance perpĂ©tuelleEs Nous dĂ©couvrons par cette invitation que nous sommes aimĂ©s par Dieu, invitĂ©s Ă  vivre un compagnonnage avec lui. L’alliance est un contrat de solidaritĂ© que Dieu conclut avec nous
 plus solide que toutes les assurances que la sociĂ©tĂ© nous offre. Dieu n’est pas le spectateur de la vie des hommes sur la terre. Il s’y implique. Il s’engage Ă  nos cĂŽtĂ©s. Il a choisi l’homme comme son partenaire pour conclure avec lui une alliance, un pacte. Une alliance d’amour, de libertĂ© mais aussi une alliance d’engagement rĂ©ciproque. La premiĂšre saison est l’émerveillement d’une rencontre qui Ă©tanche notre soif. DeuxiĂšme saison Visiter nos zones d’ombre Le Dieu qui Ă©tanche ma soif me permet de renoncer au mal et me promet son pardon. Que le mĂ©chant abandonne sa voie, et l’homme malfaisant ses pensĂ©es ; qu’il revienne au SEIGNEUR, qui aura compassion de lui, — Ă  notre Dieu, qui pardonne AprĂšs la premiĂšre saison de la rencontre avec Dieu qui Ă©tanche notre soif, il nous arrive de dĂ©couvrir qu’il y a des zones d’ombre en nous. Tout n’est pas aussi lumineux, parfait et harmonieux que nous le dĂ©sirons. Nous avons hĂ©ritĂ© d’histoires de familles pas toujours gaies. Nous avons vĂ©cu des Ă©pisodes douloureux. Nous dĂ©couvrons en nous des passions, des traits de caractĂšre pas toujours agrĂ©ables. Nous dĂ©couvrons nos faiblesses, nos peurs, nos jalousies, des injonctions familiales dĂ©prĂ©ciatives tu n’es bon Ă  rien », des rejets douloureux, des dĂ©ceptions, des trahisons
 et j’en passe. Nous dĂ©couvrons que notre vie avec Dieu est contaminĂ©e par ces ombres
 Et cela nous dĂ©sole, cela nous dĂ©courage, car nous rĂȘvons d’ĂȘtre de bons chrĂ©tiens, parfaits, Ă  l’image de JĂ©sus
 Il y a du dĂ©couragement lorsqu’on oublie la seconde partie du verset 
 que le mĂ©chant revienne au SEIGNEUR, qui aura compassion de lui, — qu’il revienne Ă  notre Dieu, qui pardonne abondamment. Le pardon est auprĂšs de Dieu. Un pardon abondant qui nous permet d’apprivoiser nos ombres. Il est vain de s’imposer d’ĂȘtre vertueux, car le naturel revient au galop. Par contre, nous pouvons apprivoiser nos ombres pour leur ĂŽter leur aspect destructeur
 cf. Jean Monbourquette, Apprivoiser son ombre, Ă©d. Bayard. Si nous confessons nos pĂ©chĂ©s, il est fidĂšle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquitĂ©. 1Jn Apprivoiser nos ombres nous permet de les laisser aller parce que ces ombres sont liĂ©es Ă  notre ego. Or nous pouvons laisser aller notre ego, ce que nous avons cru nĂ©cessaire pour nous construire. Cet ego a certes Ă©tĂ© parfois utile dans les situations difficiles des conflits de l’existence par exemple face Ă  des personnes au caractĂšre d’abuseurs qui menacent notre existence. Mais devant Dieu nous pouvons renoncer Ă  nos ombres et au bĂ©nĂ©fice qu’elles semblent nous donner. C’est ce que la Bible appelle accepter de perdre sa vie. En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, si le grain de blĂ© qui est tombĂ© en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de Nous pouvons permettre Ă  l’ego de lĂącher prise pour nous mettre sous l’autoritĂ© de Dieu. La mort de l’ego donne une nouvelle vision du monde, celle de l’amour divin qui ressuscite ce qui Ă©tait perdu. La deuxiĂšme saison est certes douloureuse, mais elle est une prise de conscience nĂ©cessaire, nul n’y Ă©chappe. Une prise de conscience qui nous conduit Ă  ĂȘtre vrais face Ă  Dieu, face aux autres et Ă  nous-mĂȘmes. Une prise de conscience salutaire car elle est enveloppĂ©e dans la bienveillance divine. TroisiĂšme saison Mes pensĂ©es ne sont pas vos pensĂ©es – Le Dieu qui nous aime et Ă©tanche notre soif est toujours plus grand
 Car mes pensĂ©es ne sont pas vos pensĂ©es, et vos voies ne sont pas mes voies, dit le Seigneur. Autant les cieux sont Ă©levĂ©s au-dessus de la terre, autant mes voies sont Ă©levĂ©es au-dessus de vos voies, et mes pensĂ©es au-dessus de vos Passages parallĂšles Ne te presse pas d’ouvrir la bouche, et que ton cƓur ne se hĂąte pas d’exprimer une parole devant Dieu ; car Dieu est au ciel, et toi sur la terre que tes paroles soient donc peu L’Eternel, ton Dieu, est au milieu de toi, comme un hĂ©ros qui sauve ; Il fera de toi sa plus grande joie ; Il gardera le silence dans son amour ; Il aura pour toi des transports d’ Ces versets sont curieux
 ils paraissent dĂ©calĂ©s. La premiĂšre saison est la dĂ©couverte du salut, de la bontĂ© de Dieu. Elle est l’invitation Ă  faire alliance avec lui pour devenir son disciple. Une saison lumineuse, magnifique. La deuxiĂšme nous invite Ă  reconnaĂźtre lucidement nos ombres, les confesser et les apprivoiser en vivant de la misĂ©ricorde et du pardon de Dieu. Ces deux premiĂšres saisons devraient logiquement nous conduire directement au ciel ! Que viennent faire ces versets 8 et 9 ? Ils nous apprennent une vĂ©ritĂ© fondamentale. Dieu est Dieu
 Or nous, nous sommes toujours tentĂ©s de mal le comprendre, de projeter sur lui nos dĂ©sirs de toute puissance, de le manipuler, de nous en faire de fausses reprĂ©sentations. Dieu est toujours plus grand que tout ce que nous pouvons dire et penser de lui. Nous ne connaissons qu’en partie, d’une façon limitĂ©e 1Co Dieu est toujours plus grand que tout ce que j’ai compris de lui. Tout ce que nous affirmons au sujet de Dieu, aussi exact que cela puisse ĂȘtre, est encore bien loin de la rĂ©alitĂ© de sa personne
. Nos mots ne peuvent dire, ni contenir la plĂ©nitude de ce Dieu de totale transcendance. Pourtant il nous faut parler. C’est le paradoxe de la foi chrĂ©tienne. C’est par notre bouche que nous cĂ©lĂ©brons Dieu. La foi chrĂ©tienne est enseignĂ©e au catĂ©chisme, dans les ateliers bibliques, par les prĂ©dications. C’est utile et nĂ©cessaire. Pourtant tout ce bagage intellectuel, toute cette somme de connaissance ne permettra jamais de possĂ©der Dieu, de dire la rĂ©alitĂ© ultime de Dieu. PrĂȘcher est difficile une dĂ©tresse », dit Karl Barth. A l’école on enseigne une matiĂšre, Ă  l’Église, dans nos paroles, nos prĂ©dications, nous parlons d’une personne
 La prĂ©dication ne peut que suggĂ©rer Dieu, elle est un poteau indicateur qui montre le chemin pour aller vers lui. Dieu n’est pas tant l’objet de notre connaissance que la cause de notre Ă©tonnement, de notre admiration, notre louange, et notre confiance. Trois consĂ©quences pratiques Dans les Ă©preuves, ne pas attribuer Ă  Dieu nos dĂ©sirs ni projeter sur lui nos rĂȘves de toute puissance et nos attentes est dur de vivre des Ă©preuves, la maladie, un divorce, un veuvage, des priĂšres non exaucĂ©es, etc. SpontanĂ©ment nous avons la tendance d’en rendre Dieu responsable. Seigneur, si tu avais Ă©tĂ© ici, mon frĂšre ne serait pas mort !Jn 32 Dans les Ă©preuves nous sommes déçus, nous reportons alors sur Dieu notre dĂ©ception et nous nous Ă©loignons de Lui. Pourquoi Dieu n’est-il pas intervenu ? Pourquoi a-t-il permis tel ou tel Ă©vĂ©nement ? Nous reportons sur Dieu nos dĂ©ceptions en le rendant responsable de l’évĂ©nement qui nous a blessĂ©s. Or, agir ainsi c’est faire preuve de myopie. C’est d’abord nous prĂ©valoir d’un statut qui n’est pas le nĂŽtre. Nous ne sommes pas Dieu. C’est ensuite lui prĂȘter des attributs qu’il n’a pas. En agissant ainsi nous faussons notre relation avec lui et nous nous privons de son secours. Le rĂ©cit de la tempĂȘte vĂ©cue par l’apĂŽtre Paul en MĂ©diterranĂ©e est riche d’enseignements Ă  ce sujet Ac 27. Paul avait eu la bonne intuition. Pourquoi est-ce que Dieu n’a pas fait comprendre cette intuition au commandant du navire ? Lorsque la tempĂȘte a Ă©clatĂ©, Dieu aurait pu l’arrĂȘter en un instant ! Pourquoi les passagers ont-ils dĂ» la subir pendant 14 longues journĂ©es ? Pourquoi ce long et pesant silence de Dieu ? Face Ă  la diversitĂ©. Nous ne sommes pas seuls Ă  parler de Dieu. Nous ne sommes pas seuls Ă  chercher Dieu. Nous ne sommes pas seuls Ă  tĂ©moigner du Christ
 Or ces tĂ©moignages sont d’une grande diversitĂ© Catholiques – Protestants – Orthodoxes – Adventistes – Baptistes – PentecĂŽtistes – etc
 De mon berceau Ă©vangĂ©lique qui m’a vu naĂźtre Ă  la foi, je ne comprenais pas la pertinence des autres formes d’expression de la foi. Or j’ai dĂ» apprendre Ă  accueillir cette diversité  un accueil Ă  vivre avec discernement
 J’ai appris que Dieu est plus grand que ma maniĂšre de le comprendre et ma maniĂšre d’en tĂ©moigner. Les autres expressions de la foi ont autant de valeur que la mienne. Face aux paroles prononcĂ©es autoritairement au nom de Dieu. Il est bon de recevoir, de vivre et d’exprimer, sous forme de charisme, les paroles et les signes que Dieu donne Ă  son Église. Cependant il est nĂ©cessaire de toujours garder Ă  leur Ă©gard une distance critique. Dieu est plus grand que tout ce qui est dit en son nom. Les Écritures donnent de nombreux exemples Ă  ce propos. Cette troisiĂšme saison est celle qu’Elie a dĂ©couverte sur la montagne du SinaĂŻ. Au SinaĂŻ, Elie a appris que Dieu n’était ni dans la tempĂȘte, ni dans le tremblement de terre, ni dans le feu
 mais dans le bruissement silencieux d’un murmure doux et lĂ©ger
 Cette saison enracine notre foi dans la profondeur d’une communion intime avec Dieu oĂč Dieu n’est plus servi, aimĂ© et adorĂ© pour ce qu’il nous donne, mais il est servi, aimĂ© et adorĂ© pour ce qu’il est. Alors nous pouvons passer Ă  la quatriĂšme saison versets 10 Ă  13. QuatriĂšme saison Vivre la fĂ©conditĂ© de Dieu La prise de conscience de la vraie nature de Dieu nous permet d’ĂȘtre davantage conscients de notre fragilitĂ©. LibĂ©rĂ©s de nos illusions de perfection nous vivons le pardon que Dieu nous accorde dans sa misĂ©ricorde, sans ĂȘtre Ă©crasĂ©s par notre pauvretĂ© spirituelle ni crispĂ©s sur nos fautes. Dieu travaille dans et au travers de nos faiblesses. Nous lui faisons confiance. Il conduira toutes choses Ă  bonne fin. Il mettra en Ɠuvre les changements nĂ©cessaires en nous
 Nous dĂ©couvrons que la personne que Dieu aime avec la tendresse d’un PĂšre, qu’il veut rejoindre et transformer par son amour, ce n’est pas la personne que j’aurais aimĂ© ĂȘtre, c’est celle que je suis. Aussi nous n’avons plus besoin de prouver quoi que ce soit Ă  nous-mĂȘmes et aux autres. Il y a des combats qui deviennent inutiles
 sans pour autant devenir des lĂąches. Nous pouvons dĂ©velopper une immense confiance en Dieu
 confiance qui n’est ni rĂ©signation, ni fatalisme
 une confiance dynamique et active dans sa souverainetĂ© absolue. Nous ne sommes plus le produit de nos rĂ©ussites ou de nos Ă©checs
 Nous devenons moins sensibles aux pressions, aux attentes de soi et des autres. Nous pouvons ĂȘtre heureux lorsque nous vivons de belles expĂ©riences et paisibles dans les Ă©checs. Cette saison est marquĂ©e par la paix de Dieu. Oui, vous sortirez avec joie, et vous serez conduits en paix Es La paix est l’aspiration ultime qui est au fond du cƓur de l’homme
 Le paradoxe veut que toutes nos guerres sont entreprises au nom de la paix
 que nous voulons imposer selon notre comprĂ©hension des choses. Alors que la vraie paix c’est celle que Dieu donne. Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cƓur ne se trouble point, et ne s’alarme Une paix non pas liĂ©e aux circonstances favorables. Non pas la paix du riche qui a accumulĂ© des trĂ©sors, mais la paix d’une confiance inĂ©branlable en Dieu. Car nous rĂ©alisons que notre identitĂ©, notre source, nos racines sont en Dieu. Dieu se plait Ă  demeurer en nous par le Saint-Esprit, que JĂ©sus appelle le Paraclet, littĂ©ralement celui qui est appelĂ© Ă  cĂŽtĂ© [de nous] », le pĂ©dagogue, l’infirmier, l’avocat, le parent aimant
 Une prĂ©sence du Saint-Esprit vĂ©cue tout simplement, sans nĂ©cessairement vivre des manifestations ostentatoires car dĂ©sormais nous savons que tout va passer, la connaissance, les miracles, tout passera
 seules demeurent la foi, l’espĂ©rance et l’amour, et la plus grande des trois est l’amour. La seule chose qui demeure est d’ĂȘtre recueillis en Dieu. Cette quatriĂšme saison est celle de la fĂ©conditĂ©, de la sĂ©rĂ©nitĂ©. Elle durera Ă©ternellement. Notons que ces saisons ne sont pas nĂ©cessairement chronologiques. Nous pouvons nous trouver simultanĂ©ment dans l’une et l’autre. Elles sont les multiples faces de notre communion avec Dieu. Questions Quelle saison est-ce que je vis actuellement ? Que m’apporte-t-elle ? Quelle est ma comprĂ©hension de ces quatre saisons ? Laquelle de ces saisons m’a-t-elle le plus marquĂ© et pourquoi ? En quoi la paix que Dieu donne est-elle si importante ?
ATELIEROFFERT : 👍 âŹ‡ïžâŹ‡ïžâŹ‡ïž TROUVE TA MISSION DE VIE âŹ‡ïžâŹ‡ïžâŹ‡ïžDans cette vidĂ©o, nous allons voir comment rĂ©pondre Ă  Cette interrogation prouve ta dĂ©licatesse de cƓur. Tu n'as pas envie de parler Ă  la place de Dieu et tu veux faire sa volontĂ©. Peut-ĂȘtre aussi que tu as peur d’ĂȘtre livrĂ© aux dĂ©bordements de ton imagination. Quand on veut engager toute sa vie, on sent bien qu’il faut s’appuyer sur quelque chose de plus solide que ses petites forces ou ses Ă©motions passagĂšres. Comment savoir ce qui vient de moi et ce qui vient de Dieu ?Pour y voir clair, ne reste pas seul. Il s’agit d’une question complexe pour laquelle il peut ĂȘtre utile d’avoir un regard extĂ©rieur. Parles-en Ă  une personne de confiance qui a de l'expĂ©rience en la matiĂšre un prĂȘtre, une religieuse, un moine... Il pourra t’aider Ă  trier tous les dĂ©sirs qui montent en toi pour discerner la volontĂ© de Dieu. Ce regard extĂ©rieur sera prĂ©cieux. Tu feras ainsi une belle expĂ©rience celle de demander Ă  l'Église d'authentifier l'appel intĂ©rieur que tu as en fin de compte, c’est bien toi qui rĂ©pondras. L’appel reste une rĂ©alitĂ© intĂ©rieure, personnelle, intime. Personne ne peut savoir ou dĂ©cider Ă  ta place. Laisse-toi guider dans la confiance en demandant l'Esprit de LumiĂšre et de Sagesse. En avançant Ă  partir des signes perçus et des sentiments intĂ©rieurs, ta vocation deviendra plus objective. Tu pourras alors poser des actes libres pour toutes les questions rĂ©ponses LorsqueDieu prendra en charge votre sĂ©curitĂ©, il vous donnera un esprit d’audace pour vous permettre d’aller lĂ  oĂč les autres ne peuvent pas aller. MĂȘme si vous traversez la vallĂ©e la plus sombre, vous ne craindrez aucun mal, car vous saurez que les anges de Dieu sont avec vous. 7 Signes indiquant que vous avez la sĂ©curitĂ© de Dieu.

Verset mĂ©moire MoĂŻse et Aaron se rendirent ensuite auprĂšs de Pharaon, et lui dirent Ainsi parle l’Eternel, le Dieu d’IsraĂ«l Laisse aller mon peuple, pour qu’il cĂ©lĂšbre au dĂ©sert une fĂȘte en mon honneur » — Exode 51. Texte choisi Exode 51-16 – 61 Comme Dieu le voulait, les enfants d’IsraĂ«l crurent les signes que MoĂŻse et Aaron leur montrĂšrent. Ils furent reconnaissants de ce que l’Éternel avait vu leurs afflictions, et ils lui rendirent grĂące pour sa misĂ©ricorde. Comme nous allons le voir, Pharaon n’eut pas la mĂȘme rĂ©action quand les signes et les miracles de l’Éternel, le Dieu d’IsraĂ«l lui furent montrĂ©s. La lutte avec Pharaon commença avec la premiĂšre demande qui figure dans notre verset mĂ©moire. La rĂ©action de Pharaon Ă  cette demande fut le mĂ©pris parce qu’il considĂ©rait que le dieu soleil des Egyptiens Ă©tait celui qui Ă©tait puissant. Il dĂ©crĂ©ta que les IsraĂ©lites auraient dĂ©sormais Ă  faire leurs briques sans l’utilisation de la paille. Les inspecteurs reçurent l’instruction d’exiger que le nombre de briques faites chaque jour ne pouvait pas ĂȘtre infĂ©rieur ne serait-ce d’une brique. Le peuple se rĂ©pandit dans tout le pays d’Egypte, pour ramasser du chaume au lieu de paille » Exode 512. Le rĂ©sultat de cette premiĂšre demande de libertĂ© fut que leurs tĂąches furent en rĂ©alitĂ© pratiquement doublĂ©es. Leurs inspecteurs devinrent cruels ; le peuple fut battu, et mĂȘme empĂȘchĂ© de vĂ©nĂ©rer Dieu. Pharaon rĂ©pondit Vous ĂȘtes des paresseux, des paresseux ! VoilĂ  pourquoi vous dites Allons offrir des sacrifices Ă  l’Eternel ! » Verset 17. Mais en passant par ces expĂ©riences amĂšres le peuple Ă©tait prĂ©parĂ© afin d’apprĂ©cier sa libertĂ© le jour oĂč finalement elle viendrait. Ce fut une Ă©preuve de foi, non seulement pour MoĂŻse et Aaron qui devaient affronter Pharaon, mais aussi pour tous les IsraĂ©lites. Pharaon reprĂ©sente Satan, et la terre d’Egypte reprĂ©sente sa domination du pĂ©chĂ© et de la mort sur le monde entier dans lequel l’humanitĂ© est en esclavage. De mĂȘme, nous devrions apprĂ©cier le privilĂšge d’ĂȘtre libĂ©rĂ©s de la puissance du pĂ©chĂ© et de la mort et d’ĂȘtre intĂ©grĂ©s au sein de la famille de Dieu. Face Ă  la demande lĂ©gitime du Dieu vivant et vrai et Ă  la formidable dĂ©monstration de miracles qu’il Ă©tait bien Dieu, et que MoĂŻse et Aaron Ă©taient ses reprĂ©sentants, Pharaon endurcit son cƓur. Dieu utilisa Pharaon comme un instrument en l’obligeant Ă  un rĂ©sultat contre lequel il endurcit son cƓur dans son refus. Pharaon rejeta Dieu et refusa la juste obĂ©issance et ainsi sa conscience et son cƓur furent inĂ©vitablement endurcis Romains 917-24. Le peuple fut grandement troublĂ© de mĂȘme que MoĂŻse et Aaron concernant la rĂ©action de Pharaon Ă  la demande de Dieu et au chĂątiment ultĂ©rieur de son peuple. Ils leur dirent Que l’Eternel vous regarde, et qu’il juge ! Vous nous avez rendus odieux Ă  Pharaon et Ă  ses serviteurs, vous avez mis une Ă©pĂ©e dans leurs mains pour nous faire pĂ©rir » Exode 521. MoĂŻse implora Dieu dans la priĂšre afin qu’il lui montre ce qu’il devait faire en rĂ©ponse au mal fait depuis qu’il Ă©tait allĂ© auprĂšs de Pharaon afin de libĂ©rer son peuple. La rĂ©ponse Ă  la premiĂšre priĂšre de MoĂŻse ne tarda pas Ă  venir. Dieu voulut assurer Ă  MoĂŻse qu’il parviendrait Ă  la dĂ©livrance de son peuple, et que rien ne pourrait s’y opposer. L’Eternel dit Ă  MoĂŻse Tu verras maintenant ce que je ferai Ă  Pharaon ; une main puissante le forcera Ă  les laisser aller, une main puissante le forcera Ă  les chasser de son pays » Exode 61. &

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Tempslongs (1 week-end c’est pas suffisant, une semaine c’est mieux !), les exercices spirituels de Saint Ignace sont fortement conseillĂ©s. Rechercher le silence, partir au "dĂ©sert" pour Ă©couter ce que Dieu met dans le coeur. Il est indispensable de savoir prendre du recul et de la hauteur dans le rythme fou de la vie urbaine.
Question RĂ©ponse Par dons bibliques servant de signes, on fait rĂ©fĂ©rence aux miracles comme le parler en langues, les visions, les guĂ©risons, les rĂ©surrections et les prophĂ©ties. La question de savoir si ces dons ont existĂ© ne se pose pas pour les croyants la Bible les dĂ©crit clairement. Il y a cependant des dĂ©saccords sur leur sens, ainsi que sur la question de savoir si on devrait encore les expĂ©rimenter aujourdÊŒhui. Certains affirment que ces dons sont un signe de notre salut, dÊŒautres, un signe du baptĂȘme du Saint-Esprit, dÊŒautres encore, quÊŒils ont Ă©tĂ© donnĂ©s pour authentifier le message de lÊŒĂ‰vangile. Comment connaĂźtre la vĂ©ritĂ© ? Nous devons sonder les Écritures pour dĂ©couvrir ce que Dieu lui-mĂȘme en dit. On trouve une des premiĂšres rĂ©fĂ©rences bibliques Ă  ces dons en Exode 4, oĂč Dieu appelle MoĂŻse Ă  dĂ©livrer IsraĂ«l dÊŒĂ‰gypte. MoĂŻse, qui craint que le peuple ne croira pas que Dieu lÊŒa envoyĂ©, reçoit des signes son bĂąton qui se transforme en serpent et sa main qui devient lĂ©preuse. Dieu lui dit de montrer ces signes aux IsraĂ©lites afin quÊŒils croient que lÊŒĂ‰ternel, le Dieu de leurs ancĂȘtres, [lui] est apparu, le Dieu dÊŒAbraham, le Dieu dÊŒIsaac et le Dieu de Jacob » v. 5. SÊŒils ne croient toujours pas, Dieu demande Ă  MoĂŻse de prendre de lÊŒeau du Nil et de la verser Ă  terre, oĂč elle se changerait en sang v. 9. Ainsi, les enfants dÊŒIsraĂ«l croiraient au messager de Dieu. Dieu a aussi donnĂ© Ă  MoĂŻse des signes miraculeux Ă  montrer au Pharaon afin de le pousser Ă  laisser partir son peuple. En Exode Dieu dit Ă  MoĂŻse quÊŒil multiplierait ses signes et ses miracles en Égypte et quÊŒainsi, les Égyptiens reconnaĂźtr[aient] qu’[il Ă©tait] lÊŒĂ‰ternel lorsqu[il] dĂ©ploierai[t] [s]a puissance contre lÊŒĂ‰gypte et ferai[t] sortir les IsraĂ©lites du milieu dÊŒeux ». Dieu voulait que le peuple Ă©gyptien sache quÊŒil Ă©tait Ă  lÊŒĆ“uvre pour dĂ©livrer les IsraĂ©lites. En Exode MoĂŻse avertit le Pharaon que la derniĂšre plaie, la mort des premiers-nĂ©s, manifesterait la diffĂ©rence que Dieu fait entre les Égyptiens et les IsraĂ©lites. Ces signes et miracles confirmeraient le message de Dieu au Pharaon et aux Égyptiens, qui comprendraient que MoĂŻse Ă©tait envoyĂ© par Dieu. Quand Élie a affrontĂ© les faux prophĂštes sur le Mont Carmel 1 Rois 18, il a priĂ© que Dieu fasse descendre miraculeusement le feu du ciel pour que le peuple sache que cÊŒest [lui] qui [Ă©tait] Dieu en IsraĂ«l et que [lui, Élie, Ă©tait son] serviteur et [qu’il avait] fait tout cela sur [son] ordre [
] afin que ce peuple reconnaisse que [c’était lui, l’Éternel], qui [Ă©tait] Dieu » v. 36-37. Les miracles que lui et les autres prophĂštes ont accomplis confirment que Dieu les avait envoyĂ©s et Ă©tait Ă  lÊŒĆ“uvre au milieu dÊŒIsraĂ«l. JoĂ«l a annoncĂ© le jugement de Dieu sur IsraĂ«l, accompagnĂ© dÊŒun message de misĂ©ricorde et dÊŒespĂ©rance. Quand le jugement est venu, ainsi quÊŒil lÊŒavait prophĂ©tisĂ©, et que le peuple sÊŒest repenti, Dieu a annoncĂ© quÊŒil renonçait Ă  son jugement et restaurait ses bĂ©nĂ©dictions Vous saurez que je suis au milieu dÊŒIsraĂ«l, que je suis lÊŒĂ‰ternel, votre Dieu, et quÊŒil nÊŒy en a pas dÊŒautre, et mon peuple ne sera plus jamais dans la honte » JoĂ«l Il a immĂ©diatement ajoutĂ© quÊŒil rĂ©pandrait son Esprit sur le peuple pour quÊŒils prophĂ©tisent, aient des visions et voient des miracles sÊŒaccomplir. Quand, au jour de la PentecĂŽte, les disciples ont commencĂ© Ă  parler en langues Actes Pierre a affirmĂ© maintenant se rĂ©alise ce quÊŒa dit le prophĂšte JoĂ«l ». Pourquoi ? Pour que le peuple comprenne que le message que lui et les autres apĂŽtres annonçaient venait de Dieu. Le ministĂšre de JĂ©sus Ă©tait accompagnĂ© de signes et de miracles. Pourquoi ? En Jean il rĂ©pond en ces termes aux Juifs qui voulaient le lapider pour blasphĂšme Si je ne fais pas les Ɠuvres de mon PĂšre, ne me croyez pas ! Mais si je les fais, mĂȘme si vous ne me croyez pas, croyez Ă  ces Ɠuvres afin de savoir et de reconnaĂźtre que le PĂšre est en moi et que je suis en lui. » Tout comme dans lÊŒAncien Testament, JĂ©sus faisait des miracles pour confirmer que la main de Dieu Ă©tait sur son Messager. Quand les Pharisiens ont demandĂ© un signe Ă  JĂ©sus, il leur a rĂ©pondu Une gĂ©nĂ©ration mauvaise et adultĂšre rĂ©clame un signe miraculeux, il ne lui sera pas donnĂ© dÊŒautre signe que celui du prophĂšte Jonas. En effet, de mĂȘme que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre dÊŒun grand poisson, de mĂȘme le Fils de lÊŒHomme sera trois jours et trois nuits dans la terre. Lors du jugement, les habitants de Ninive se lĂšveront avec cette gĂ©neration et la condamneront, parce quÊŒils ont changĂ© dÊŒattitude Ă  la prĂ©dication de Jonas. Or, il y a ici plus que Jonas. » Matthieu Il disait trĂšs clairement que les signes avaient pour but de faire comprendre au peuple quÊŒun message venait de Dieu, afin quÊŒil rĂ©agisse en consĂ©quence. De mĂȘme, en Jean il a dit Ă  lÊŒofficier Si vous ne voyez pas des signes et des prodiges, vous ne croirez donc pas ? » Les signes sont une aide pour ceux qui ont du mal Ă  croire, mais le plus important Ă©tait le message du salut en Christ. Paul dĂ©crit ainsi ce message du salut en 1 Corinthiens Il a plu Ă  Dieu de sauver les croyants Ă  travers la folie de la prĂ©dication. Les Juifs demandent un signe miraculeux et les Grecs recherchent la sagesse. Or nous, nous prĂȘchons un Messie crucifiĂ©, scandale pour les Juifs et folie pour les non-Juifs. » Les signes ont leur utilitĂ©, mais ils ne sont que des moyens visant Ă  une fin plus grande le salut des Ăąmes par la prĂ©dication de lÊŒĂ‰vangile. En 1 Corinthiens Paul dit clairement que les langues sont un signe non pour les croyants, mais pour les non-croyants. » Dieu sÊŒest servi de signes miraculeux comme le parler en langues pour convaincre les incroyants que le message de Christ Ă©tait vrai, mais le contexte dÊŒensemble montre que le plus important Ă©tait lÊŒannonce claire du message de lÊŒĂ‰vangile. En Ă©tudiant les signes et miracles dans les Écritures, on oublie souvent aussi leur chronologie. Contrairement Ă  une opinion largement rĂ©pandue, les hommes des temps bibliques ne vivaient pas dans le miracle permanent les miracles de la Bible sont gĂ©nĂ©ralement plutĂŽt liĂ©s Ă  des Ă©pisodes particuliers du plan de Dieu pour les hommes. La sortie dÊŒĂ‰gypte du peuple dÊŒIsraĂ«l et son entrĂ©e dans la terre promise ont vu se produire de nombreux miracles, mais ces miracles ont ensuite cessĂ© rapidement. Au cours des derniĂšres annĂ©es du Royaume de Juda, quand Dieu Ă©tait sur le point de faire partir son peuple en exil, il a permis que certains de ses prophĂštes accomplissent des miracles. JĂ©sus venu habiter parmi nous a fait des miracles, de mĂȘme que les apĂŽtres au dĂ©but de leur ministĂšre ; mais, en dehors de ces pĂ©riodes prĂ©cises, les signes et miracles sont assez rares dans la Bible. La grande majoritĂ© des hommes de cette Ă©poque nÊŒont jamais vu de signes ni de miracles de leurs yeux ils devaient vivre par la foi en ce que Dieu leur avait dĂ©jĂ  rĂ©vĂ©lĂ©. Dans lÊŒĂ‰glise primitive, les signes et miracles avaient lieu surtout lors de la premiĂšre annonce de lÊŒĂ‰vangile Ă  de nouveaux peuples. Le jour de la PentecĂŽte, on voit que des Juifs, hommes pieux venus de toutes les nations qui sont sous le ciel », Ă©taient rassemblĂ©s Ă  JĂ©rusalem Actes Ces Juifs, qui avaient Ă©tĂ© Ă©levĂ©s ailleurs et parlaient dÊŒautres langues v. 6-11, ont Ă©tĂ© les premiers bĂ©nĂ©ficiaires du signe du parler en langues. Ils ont reconnu quÊŒils entendaient parler des merveilles de Dieu, chacun dans sa propre langue, et Pierre leur a dit que la seule rĂ©action appropriĂ©e Ă©tait de se repentir de leurs pĂ©chĂ©s v. 38. Quand lÊŒĂ‰vangile a Ă©tĂ© annoncĂ© pour la premiĂšre fois aux Samaritains, Philippe a accompli des signes et des miracles Actes Quand Pierre a Ă©tĂ© envoyĂ© Ă  Corneille, un non-Juif, Dieu a de nouveau fait un signe miraculeux pour confirmer son Ɠuvre. Tous les croyants circoncis qui Ă©taient venus avec Pierre furent stupĂ©faits de ce que le don du Saint-Esprit Ă©tait dĂ©versĂ© mĂȘme sur les non-Juifs. En effet, ils les entendaient parler en langues et cĂ©lĂ©brer la grandeur de Dieu. » Actes Quand Pierre a Ă©tĂ© interrogĂ© par les autres apĂŽtres, il a dĂ©crit ce signe comme une preuve de la direction de Dieu et tous se mirent Ă  cĂ©lĂ©brer la gloire de Dieu en disant Dieu a donc aussi accordĂ© aux non-Juifs la possibilitĂ© de changer dÊŒattitude afin dÊŒavoir la vie. » » Actes Dans tous ces cas, les signes Ă©taient une confirmation du message et du messager de Dieu, afin que le public comprenne et croie. Une fois le message confirmĂ©, les signes cessaient. Nous nÊŒavons pas forcĂ©ment besoin de voir ces signes se reproduire dans nos vies, mais nous avons besoin du mĂȘme message de lÊŒĂ‰vangile. English Retour Ă  la page d'accueil en français Quel Ă©tait le sens des dons bibliques servant de signes ?
Vertalingenvan het uitdrukking QUE DIEU APPELLE van frans naar nederlands en voorbeelden van het gebruik van "QUE DIEU APPELLE" in een zin met hun vertalingen: d'entre eux sont la rĂ©ponse que Dieu appelle Ă .. frans. nederlands. Vertalen. Nederlands. Français English Dansk Deutsch Español Italiano Svenska ŰčŰ±ŰšÙ‰ БългарсĐșĐž àŠŹàŠŸàŠ‚àŠČàŠŸ ČeskĂœ ΕλληΜÎčÎșÎŹ Suomi
Les paraboles ont Ă©tĂ© le moyen de choix de JĂ©sus pour enseigner les vĂ©ritĂ©s du royaume des Cieux. Ses paraboles sont comme les bijoux, petits mais d’une grande valeur. Les conceptions de JĂ©sus sur la vĂ©ritĂ© et son enseignement Ă©taient si vastes que le moindre dĂ©tail de la nature lui servait d’illustration. Toutes les scĂšnes de la vie journaliĂšre Ă©taient reliĂ©es Ă  quelque vĂ©ritĂ© essentielle, si bien que la nature entiĂšre se trouvait revĂȘtue des paraboles du MaĂźtre. JĂ©sus s’efforçait de trouver le chemin de tous les cƓurs. GrĂące Ă  un choix d’illustrations variĂ©es, il n’exposait pas seulement la vĂ©ritĂ© sous ses aspects divers, mais il l’adaptait aux diffĂ©rentes classes de ses auditeurs. Il attirait leur attention par des images prises dans la vie quotidienne. Personne ne pouvait dire qu’il avait Ă©tĂ© oubliĂ© ou laissĂ© de cĂŽtĂ©. Les plus humbles et les plus grands pĂ©cheurs entendaient une voix qui leur parlait avec tendresse et sympathie. Dans la parabole des ouvriers de la onziĂšme heure JĂ©sus voulut mettre en garde Ses disciples contre le danger de croire qu’ils auraient plus de privilĂšges que les autres du fait qu’ils avaient Ă©tĂ© les premiers appelĂ©s Ă  travailler dans la vigne. L’esprit Ă©goĂŻste n’est pas l’esprit du Ciel. La parabole condamne tout esprit de jalousie, d’envie et de suspicion, elle montre le vrai Ă©tat d’esprit du ciel l’altruisme, le dĂ©sintĂ©ressement. Qui reprĂ©sentent les ouvriers de la onziĂšme heure ? Que reprĂ©sente le salaire ? Il y a-t-il une application prophĂ©tique ? Etudions donc la Parabole verset par verset Matthieu 20 1-16 [1] Car le royaume des cieux est semblable Ă  un maĂźtre de maison qui sortit dĂšs le matin, afin de louer des ouvriers pour sa vigne. C’était la coutume Ă  l’époque, pour les hommes qui cherchaient du travail, de se rendre sur la place du marchĂ© et d’y attendre qu’un employeur vienne leur en proposer. Ainsi, dans notre parabole, nous voyons un maĂźtre de maison sortir Ă  diffĂ©rentes heures du jour pour embaucher des ouvriers. Les premiers engagĂ©s convinrent d’un certain salaire, et ceux qui furent engagĂ©s plus tard laissĂšrent la question de leur rĂ©tribution au bon vouloir de l’employeur. MaĂźtre de maison » = dans les paraboles de JĂ©sus le maitre de maison reprĂ©sente Dieu le PĂšre Dieu envoi ses ouvriers dans SA vigne pour la cultiver, pour en prendre soin, afin que la rĂ©colte soit bonne. Sa vigne » le monde. Dieu envoi Ses messagers dans le monde pour apporter la Bonne Nouvelle du Salut en Christ. Nous les chrĂ©tiens nous sommes tous des ouvriers du Seigneur ! [2] Il convint avec eux d’un denier par jour, et il les envoya Ă  sa vigne. Un denier par jour » c’est le salaire ou plutĂŽt la rĂ©compense qui leur a Ă©tĂ© proposĂ©. C’est le royaume des Cieux que tous les saints hĂ©riteront Matthieu 25 34 Venez, vous qui ĂȘtes bĂ©nis de mon PĂšre ; prenez possession du royaume qui vous a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© dĂšs la fondation du monde. » Dans la parabole il y a cinq appels celui-ci est le premier. Cet appel fut adressĂ© aux juifs, ils furent les premiers appelĂ©s Ă  entrer dans la vigne du Seigneur. [3] Il sortit vers la troisiĂšme heure, et il en vit d’autres qui Ă©taient sur la place sans rien faire. [4] Il leur dit Allez aussi Ă  ma vigne, et je vous donnerai ce qui sera raisonnable. Et ils y allĂšrent. Ceci constitue le deuxiĂšme appel. [5] Il sortit de nouveau vers la sixiĂšme heure et vers la neuviĂšme, et il fit de mĂȘme. Ce sont le troisiĂšme et le quatriĂšme appel divin Ă  rentrer dans la vigne. Ce fut l’appel de l’Eglise chrĂ©tienne tout au long des siĂšcles. Nous en reparlerons dans l’application prophĂ©tique. [6] Etant sorti vers la onziĂšme heure, il en trouva d’autres qui Ă©taient sur la place, et il leur dit Pourquoi vous tenez-vous ici toute la journĂ©e sans rien faire ? [7] Ils lui rĂ©pondirent C’est que personne ne nous a louĂ©s. Allez aussi Ă  ma vigne, leur dit-il. Aucun des ouvriers engagĂ©s tard dans la journĂ©e ne se trouvait lĂ  le matin. Ils n’avaient donc pas rejetĂ© l’appel. Ceux qui refusent et qui plus tard se repentent font certainement bien de se repentir, mais il est dangereux de prendre Ă  la lĂ©gĂšre le premier appel de la misĂ©ricorde divine. La onziĂšme heure est la derniĂšre de la journĂ©e car le jour a douze heures. Ceci constitue le cinquiĂšme et dernier appel pour aller travailler dans la vigne du Seigneur. [8] Quand le soir fut venu, le maĂźtre de la vigne dit Ă  son intendant Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. Il commence Ă  payer les derniers ! Tout ceci est une image prophĂ©tique du temps de la Fin, nous en reparlerons. [9] Ceux de la onziĂšme heure vinrent, et reçurent chacun un denier. Le denier tous reçoivent le mĂȘme salaire c’est le royaume des Cieux, la vie Ă©ternelle [10] Les premiers vinrent ensuite, croyant recevoir davantage ; mais ils reçurent aussi chacun un denier. Dans ses rapports avec les vignerons, le maĂźtre reprĂ©sente Dieu dans ses relations avec les hommes. Ses voies diffĂšrent des usages en vigueur ici-bas. Dans les affaires de ce monde, le salaire est proportionnĂ© Ă  la somme de travail que l’on accomplit. L’ouvrier ne s’attend Ă  recevoir que ce qu’il a gagnĂ©. Dans la parabole, au contraire, le Christ met en Ă©vidence les principes de son royaume, qui n’est pas de ce monde et n’est pas dirigĂ© par des lois humaines. N’est-ce pas le Seigneur qui dĂ©clare “Mes pensĂ©es ne sont pas vos pensĂ©es, et vos voies ne sont pas mes voies. 
 Autant les cieux sont Ă©levĂ©s au-dessus de la terre, autant mes voies sont Ă©levĂ©es au-dessus de vos voies, et mes pensĂ©es au-dessus de vos pensĂ©es” ? ÉsaĂŻe 55 8, 9. [11] En le recevant, ils murmurĂšrent contre le maĂźtre de la maison, [12] et dirent Ces derniers n’ont travaillĂ© qu’une heure, et tu les traites Ă  l’égal de nous, qui avons supportĂ© la fatigue du jour et la chaleur. Les premiers ouvriers engagĂ©s acceptĂšrent de travailler pour une certaine somme, qu’ils reçurent, sans plus, le soir venu. Ceux qui furent embauchĂ©s par la suite crurent Ă  cette promesse du maĂźtre “Je vous donnerai ce qui est raisonnable.” Matthieu 20 4. Ils eurent confiance en sa justice et en son Ă©quitĂ© ; ils ne demandĂšrent rien au sujet de leur salaire. Ils furent rĂ©compensĂ©s, non pas selon leur travail, mais selon la gĂ©nĂ©rositĂ© du maĂźtre. Ainsi Dieu dĂ©sire que nous nous en remettions Ă  celui qui justifie le pĂ©cheur. Il nous donne sa rĂ©compense, non d’aprĂšs nos mĂ©rites, mais “selon le dessein Ă©ternel qu’il a mis Ă  exĂ©cution par JĂ©sus-Christ notre Seigneur”. EphĂ©siens 3 11 “Il nous a sauvĂ©s, non Ă  cause des Ɠuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa misĂ©ricorde.” Tite 3 5 Il fera pour ceux qui mettent leur confiance en lui “infiniment au-delĂ  de tout ce que nous demandons ou pensons” EphĂ©siens 3 20. Les Juifs avaient Ă©tĂ© les premiers appelĂ©s Ă  entrer dans la vigne du Seigneur ; ils en conçurent de l’orgueil et devinrent des propres justes. Ils considĂ©rĂšrent leurs longues annĂ©es de service comme leur donnant le droit de recevoir une plus grande rĂ©compense que les autres. Ils s’exaspĂ©raient par-dessus tout lorsqu’on leur laissait entendre que les Gentils seraient l’objet de privilĂšges spirituels semblables aux leurs. [13] Il rĂ©pondit Ă  l’un d’eux Mon ami, je ne te fais pas tort ; n’es-tu pas convenu avec moi d’un denier ? [14] Prends ce qui te revient, et va-t’en. Je veux donner Ă  ce dernier autant qu’à toi. [15] Ne m’est-il pas permis de faire de mon bien ce que je veux ? Ou vois-tu de mauvais Ɠil que je sois bon ? Ce qui fait la valeur de notre service aux yeux de Dieu, ce n’est pas la somme de travail que nous accomplissons ni les rĂ©sultats visibles de nos efforts, mais l’esprit dans lequel nous agissons. Les ouvriers de la onziĂšme heure s’estimĂšrent heureux de l’occasion qui leur Ă©tait donnĂ©e de travailler ; leur cƓur vibrait de reconnaissance envers celui qui avait consenti Ă  les engager. Le soir venu, lorsque le maĂźtre leur accorda le salaire d’une journĂ©e entiĂšre, ils en furent grandement surpris, car ils ne pensaient pas mĂ©riter autant. La bontĂ© qu’ils lisaient sur son visage les remplissait de joie. Jamais ils n’oubliĂšrent sa gĂ©nĂ©rositĂ©, ni le salaire inespĂ©rĂ© qu’ils avaient reçu. Il en est de mĂȘme du pĂ©cheur qui s’est engagĂ© Ă  servir le MaĂźtre avec le sentiment de son indignitĂ©, alors que la onziĂšme heure du jour est dĂ©jĂ  arrivĂ©e. Son temps de service lui semble ĂȘtre bien court, et il a l’impression de ne mĂ©riter aucun salaire. Mais la pensĂ©e que Dieu l’a acceptĂ© remplit son cƓur de joie. Il travaille avec humilitĂ© et confiance, heureux d’ĂȘtre ouvrier avec le Christ. C’est un tel esprit que le Seigneur se plaĂźt Ă  honorer. JĂ©sus dĂ©sire que nous nous reposions sur lui sans nous inquiĂ©ter de la rĂ©compense. La question de la rĂ©tribution passe Ă  l’arriĂšre-plan, quand il habite dans nos cƓurs, car ce n’est pas le mobile qui nous fait agir. Accessoirement, il est vrai, nous devrions avoir Ă©gard Ă  la rĂ©munĂ©ration. Dieu dĂ©sire nous voir apprĂ©cier les bĂ©nĂ©dictions promises, mais il ne veut pas que nous soyons impatients de recevoir la rĂ©compense, ni que nous nous attendions Ă  une rĂ©tribution pour chaque devoir accompli. Il nous faut faire ce qui est bien sans nous inquiĂ©ter du gain que nous en retirerons. Le mobile de nos actions devrait ĂȘtre l’amour de Dieu et du prochain. [16] Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers. » Le premier et le dernier doivent avoir part Ă  la vie Ă©ternelle, et il conviendrait que le premier accueille joyeusement le dernier. Celui qui murmure Ă  propos de la rĂ©tribution accordĂ©e Ă  un autre oublie qu’il n’est lui-mĂȘme sauvĂ© que par grĂące. La parabole des ouvriers condamne tout esprit de jalousie et de suspicion. L’amour se rĂ©jouit de la vĂ©ritĂ© et ne fait pas de comparaison dictĂ©e par l’envie. Celui qui possĂšde l’amour ne compare que la beautĂ© du Christ avec les dĂ©fauts de son propre caractĂšre. Cette parabole est un avertissement pour tous les ouvriers du Seigneur. Quelles que soient l’anciennetĂ© de leurs services et l’importance de leurs labeurs, sans amour pour leurs frĂšres et sans humilitĂ© devant Dieu, ils ne sont rien. Il n’y a pas de religion dans la glorification du moi. Celui qui s’exalte lui-mĂȘme se trouvera privĂ© de la grĂące qui assure son efficacitĂ© au service du Christ. Celui qui se laisse aller Ă  l’orgueil ou Ă  la prĂ©somption n’accomplira qu’un travail dĂ©fectueux. Application prophĂ©tique de la parabole Le temps de travail est de 12 heures Jean 11 9 JĂ©sus rĂ©pondit N’y a-t-il pas douze heures au jour ? Si quelqu’un marche pendant le jour, il ne bronche point, parce qu’il voit la lumiĂšre de ce monde ; » Le temps pendant lequel Dieu a manifestĂ© Ses Ɠuvres » parmi les hommes Jean 9 4 Il faut que je fasse, tandis qu’il est jour, les Ɠuvres de celui qui m’a envoyĂ© ; la nuit vient, oĂč personne ne peut travailler. » C’est le temps pendant lequel Dieu a envoyĂ© des ouvriers dans SA vigne, oĂč Il a manifestĂ© Ses Ɠuvres parmi les hommes » depuis la sortie du peuple d’IsraĂ«l jusqu’au dernier message qui sera proclamĂ© lors de la manifestation de la puissance du Saint Esprit appelĂ© le Grand Cri en Apocalypse 18 1-4 un peu avant le Retour en Gloire de JĂ©sus. Cinq appels de Dieu Ă  l’humanitĂ© dans la durĂ©e de l’histoire. Remarquez bien que chaque appel dure trois heures sauf le dernier qui ne dure qu’une. Le dernier appel est trĂšs court ! Nous allons faire un diagramme avec douze heures Le maitre de maison sort embaucher des ouvriers Ă  des heures rĂ©guliĂšres 1- 3 – 6 – 9 – 11 1Ăšre heure = Ce fut la pĂ©riode du peuple d’IsraĂ«l, par lequel Dieu voulait monter au monde Son plan. Le premier appel de Dieu au monde Exode 3 9-10 Voici, les cris d’IsraĂ«l sont venus jusqu’à moi, et j’ai vu l’oppression que leur font souffrir les Egyptiens. [10] Maintenant, va, je t’enverrai auprĂšs de Pharaon, et tu feras sortir d’Egypte mon peuple, les enfants d’IsraĂ«l. » Dieu appel Moise et lui dit Va et fais sortir Mon peuple » ; Dieu s’est choisit un peuple au travers du quel Il va faire connaitre Sa volontĂ© pour toute l’humanitĂ©. Il va rĂ©vĂ©ler Son plan du sauvetage par un peuple choisit dans ce but. Ce fut le premier appel ! 3Ăšme heure = ce fut la pĂ©riode de l’église naissante, des apĂŽtres et disciples de JĂ©sus. Le deuxiĂšme appel de Dieu au monde par Son Eglise. Matthieu 28 19-20 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du PĂšre, du Fils et du Saint-Esprit, [20] et enseignez-leur Ă  observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » Cette commission fut chargĂ©e Ă  l’Eglise naissante. Ce fut elle le dĂ©positaire de ce deuxiĂšme appel pour apporter un message pour l’humanitĂ©. 6Ăšme heure = ce fut la pĂ©riode de la persĂ©cution de l’Eglise. Le temps oĂč celle-ci est dans le dĂ©sert ; le troisiĂšme appel Apocalypse 11 3 Je donnerai Ă  mes deux tĂ©moins le pouvoir de prophĂ©tiser, revĂȘtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. » Pendant cette pĂ©riode de 1260 annĂ©es l’Eglise fut persĂ©cutĂ© par le dragon Satan par l’intermĂ©diaire de l’Eglise Romaine Apocalypse 12 13-14 Quand le dragon vit qu’il avait Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ© sur la terre, il poursuivit la femme qui avait enfantĂ© l’enfant mĂąle. [14] Et les deux ailes du grand aigle furent donnĂ©es Ă  la femme, afin qu’elle s’envolĂąt au dĂ©sert, vers son lieu, oĂč elle est nourrie un temps, des temps, et la moitiĂ© d’un temps, loin de la face du serpent. » Cette pĂ©riode entre la 6Ăšme et la 9Ăšme heure fut la pĂ©riode la plus sombre de l’histoire. Elle est appelĂ©e Dark ages » en anglais qui traduit littĂ©ralement veut dire Ăąge sombre ». Pendant cette pĂ©riode la VĂ©ritable Eglise Ă©tait stigmatisĂ©, les deux tĂ©moins la Parole de Dieu » tĂ©moignaient revĂȘtus de sacs et de cendre c’est-Ă -dire dans l’humiliation. Mais mĂȘme pendant ce temps difficile pour l’Eglise, Dieu a eu Ses serviteurs fidĂšles qui ont proclamĂ© le message du salut au pĂ©ril de leur vie. Beaucoup parmi eux moururent sur le bĂ»cher. Un dĂ©tail intĂ©ressant Quand JĂ©sus Ă©tait clouĂ© sur la croix Matthieu nous dit Matthieu 27 45 Depuis la sixiĂšme heure jusqu’à la neuviĂšme, il y eut des tĂ©nĂšbres sur toute la terre. » Cette mĂȘme pĂ©riode prophĂ©tique des tĂ©nĂšbres eu lieu dans l’histoire entre la pĂ©riode de la 6Ăšme et la 9Ăšme heure de la parabole. 9Ăšme heure = Ce fut le mouvement millĂ©rite du 19Ăšme siĂšcle qui proclama le retour de JĂ©sus dans tous les continents. Avec la comprĂ©hension de la prophĂ©tie de Daniel au chapitre 8 concernant les 2300 soirs et matins, un mouvement mondial naquit qui, par la suite, allait proclamer le message de Trois anges d’Apocalypse 14 annonçant au monde le dĂ©but du jugement investigatif Apocalypse 14 6-7 Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Evangile Ă©ternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, Ă  toute nation, Ă  toute tribu, Ă  toute langue, et Ă  tout peuple. [7] Il disait d’une voix forte Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux. » Il s’agit d’un message universel oĂč Dieu invite les hommes et les femmes Ă  se prĂ©parer pour l’éternitĂ© Apocalypse 10 11 Puis on me dit Il faut que tu prophĂ©tises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois. » Cet appel commença Ă  se faire entendre aux alentours de 1850. Ce le 4Ăšme appel de la parabole ! 11Ăšme heure = cet appel se situe encore dans le futur. Les ouvriers de la onziĂšme heure entendront l’Appel divin lors de la derniĂšre crise de notre monde. C’est la crise de la marque de la bĂȘte oĂč tout ĂȘtre humain devra prendre une dĂ©cision soit pour le Seigneur soit pour le monde. Ce sera l’appel dĂ©crit en Apocalypse 18. Ce message sera proclamĂ© avec l’effusion de l’Esprit Saint la pluie de l’arriĂšre-saison Apocalypse 18 1-4 AprĂšs cela, je vis descendre du ciel un autre ange, qui avait une grande autoritĂ© ; et la terre fut Ă©clairĂ©e de sa gloire. [2] Il cria d’une voix forte, disant Elle est tombĂ©e, elle est tombĂ©e, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de dĂ©mons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, [3] parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicitĂ©, et que les rois de la terre se sont livrĂ©s avec elle Ă  l’impudicitĂ©, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. [4] Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point Ă  ses pĂ©chĂ©s, et que vous n’ayez point de part Ă  ses flĂ©aux. » Ce sera le dernier message de Dieu dans lequel Il invite Ses enfant Ă  sortir de Babylone, un systĂšme religieux faux et corrompu. Ce message sera prĂȘchĂ© lors de la crise finale de la marque de la bĂȘte » ou 666 » En vue des Ă©vĂ©nements mondiaux nous pouvons prĂ©sager l’accomplissement de ce dernier appel dans un avenir proche. Nous devons nous prĂ©parer, prĂ©parer nos cƓurs, pour la rĂ©ception de la pluie de l’Esprit. Purifions nos cƓurs avec l’aide de Dieu pour que nos vases soient prĂȘts Ă  ĂȘtre remplis par le Saint Esprit. Pourquoi les derniers seront les premiers ? Les ouvriers de la onziĂšme heure seront les premiers Ă  ĂȘtre revĂȘtus de l’immortalitĂ©, ils seront les premiers Ă  participer de la vie Ă©ternelle ils recevront la pluie de l’arriĂšre-saison, ils seront jugĂ©s et vivront un temps sans intercesseur. Ils ne passeront pas par la mort. Dans ce sens les derniers seront les premiers. Ce n’est pas le temps que nous pouvons consacrer Ă  la tĂąche qui nous rend agrĂ©ables Ă  Dieu, mais notre empressement Ă  le servir et notre fidĂ©litĂ©. Notre vie doit se caractĂ©riser par l’abnĂ©gation. Le moindre effort, fait en toute sincĂ©ritĂ© et avec dĂ©sintĂ©ressement, plaĂźt beaucoup plus au Seigneur que de grands exploits entachĂ©s d’égoĂŻsme. Dieu nous sonde pour voir si l’esprit du Christ habite en nous, et il note jusqu’à quel point nos actes reflĂštent son image. A ses yeux, notre amour et notre fidĂ©litĂ© dans la tĂąche comptent plus que la somme de travail accompli. Le Christ ne sera l’hĂŽte de notre Ăąme et Dieu ne nous reconnaĂźtra pour ses ouvriers qu’à partir du moment oĂč notre Ă©goĂŻsme sera vaincu, oĂč nous cesserons de lutter pour la suprĂ©matie, oĂč notre cƓur sera rempli de reconnaissance et oĂč l’amour parfumera notre vie. Si court et si effacĂ© que soit notre service, si nous suivons JĂ©sus avec foi, nous ne serons pas frustrĂ©s de la rĂ©compense. Les plus humbles et les plus faibles peuvent recevoir ce que les plus grands et les plus sages ne sauraient gagner. Les portes d’or du ciel ne s’ouvriront jamais devant les orgueilleux, ni devant les hautains, mais elles cĂ©deront Ă  la timide poussĂ©e du petit enfant. Magnifique sera la rĂ©compense de la grĂące rĂ©servĂ©e Ă  ceux qui auront travaillĂ© pour Dieu dans la simplicitĂ© de la foi et de l’amour ! En conclusion Dans le Royaume des cieux il n’y a pas de jalousie, ni d’envie, ni de lutte pour la suprĂ©matie. Il n’y a ni premier ni dernier. C’est un Royaume basĂ© sur le principe le plus Ă©levĂ© qui soi l’amour divin, un amour qui se donne pour l’autre, qui ne cherche pas son intĂ©rĂȘt personnel. Dieu nous appelle, ores et dĂ©jĂ  Ă  vivre par ce principe l’amour de Dieu et l’amour du prochain. Que notre amour et notre service du prochain puisse servir de tĂ©moignage dans ce monde de plus en plus matĂ©rialiste et incrĂ©dule. “DĂ©couvrir la vĂ©ritĂ© sur” est une chaĂźne Youtube partageant les vĂ©ritĂ©s bibliques. Blog SIGNES ET PROMESSES ; Description : Ce Blog a pour but au travers de son contenu, d'Ă©difier l'Ă©glise de JĂ©sus-Christ, de faire connaĂźtre Ă  nos contemporains l'amour de Dieu Introd En nous prĂ©parant pour sa venue, nous aurons des signes qui nous montrerons que son retour est proche. Il y aura des catastrophes, des faux prophĂštes, et mĂȘme le faux Messie. Quand nous voyons ses signes, il faut ĂȘtre prĂȘt, car son retour sera proche. 1. Le temps de la venue de JESUS. Matt 
 Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais seul le PĂšre.. ». Personne ne sait quand ce sera le retour de JC, cd la date exacte. C’est pour cela qu’il faudra se prĂ©parer, surtout au signe indiquant son retour. Matt .. JC et les disciples sur le mont des oliviers, discutent de son retour, et quand sera la fin du monde
 ». JC nous dit qu’il y aura des signes qui annonceront son retour, des signes de famines, catastrophes naturelles, etc
 2. Les signes. Matt Vous entendrez parler de guerre, de bruit de guerre, ne vous troublĂ© point, car ces choses doit arriver. Une nation s’élĂšvera contre une autre nation.. ». JC nous dĂ©clare aussi qu’il y aura des dĂ©rangements grave dans le monde. Entre les hommes, on ne s’entendra plus, la famine va s’étendre sur la terre. Matt AussitĂŽt aprĂšs ses jours de dĂ©tresse, le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus de lumiĂšre,
, les puissances des cieux seront Ă©branlĂ©s.. ». MĂȘme dans le ciel, il y aura du changement. La lumiĂšre du soleil, de la lune ne seront plus comme avant. Il y aura du fracas dans le ciel. Matt Cette bonne nouvelle du royaume sera annoncĂ© dans le monde, pour servir de tĂ©moignage Ă  toutes les nations, alors viendra la fin.. ». Tout le monde saura que le retour de JC sera proche, quand ils verront tous ses signes, et son message sera prĂȘchĂ© Ă  tous les hommes. Jac Riches, pleurez, et gĂ©missez Ă  cause des malheurs qui viendront sur vous,
. Votre richesse sera pourrie, et vos vĂȘtements seront rongĂ© par la teigne.. ». MĂȘme les riches vont apercevoir les malheurs qui vont s’abattre sur eux, toutes leurs richesses vont disparaĂźtre, leurs malhonnĂȘtetĂ©s exercĂ©es contre les ouvriers vont retomber sur eux, par leur mĂ©chancetĂ©. 2 Tim Dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront Ă©goĂŻstes, fanfarons, ami de l’argent, ingrats, 
.., traite, enflĂ© d’orgueil, ayant l’apparence de la piĂ©tĂ©, mais reniant ceux qui fait la force
 ». Les hommes ne rĂ©flĂ©chissent plus Ă  leur vie, l’orgueil sera entrain de les dĂ©truire, sans qu’ils s’en aperçoivent
. On ne pourra plus les reprendre, car leur morale se sera incontrĂŽlable. Dan Tiens secret ces paroles, et scelle les livres jusqu’au temps de la fin. Plusieurs alors le liront et la connaissance augmentera
 ». Si nous recherchons vraiment DIEU, nous Ă©tudierons sa parole, nous dĂ©couvriront des trĂ©sors qui nous permettront d’avoir la vie Ă©ternelle. Conclusion Pour ne pas ĂȘtre surpris au retour de JC, il faudra bien repĂ©rer les signes annonciateurs de son retour, se prĂ©parer en consĂ©quence, dĂ©jĂ  avant les signes ; mais aussi pendant les signes pour ne pas succomber. Luc Matt APPEL Je me prĂ©parerai pour l’imminent retour de JC. ________________________________ ETUDE ADDITIONNELLE. Le temps de sa venue. Nous ne savons pas le moment exacte. Mat Dieu dĂ©terminera la date. Act Il viendra Ă  n’importe quel moment. Luc ; Comme un voleur dans la nuit. 2 Pier Nous ne sommes pas dans les tĂ©nĂšbres. 1 Thess Les signes. ImmoralitĂ©. Luc Crainte et angoisse. Luc Faux Christ. Mat 23-34. Fausse piĂ©tĂ©. 2 Tim Moqueurs. 2 Pier Cherchera la paix. 1 Thess Perte de l’amour. Mat Auriez vous des questions par rapport Ă  cette Ă©tude. 1 Vous pratiquez avec les enfants le langage des signes. Au fond, la catĂ©chĂšse passe par deux canaux privilĂ©giĂ©s : La Parole de Dieu et le langage des signes. Vous cherchez Ă  Ă©veiller chez les enfants le goĂ»t de Dieu, le dĂ©sir de Dieu Ă  travers des signes. Hors, par exemple, Ă  Segonzac, pour la constitution de la nouvelle paroisse, j
Si Dieu intervient dans nos vies, comment ĂȘtre sĂ»r que c’est Lui qui agit et non pas nous qui nous projetons ? La rĂ©ponse du FrĂšre Olivier-Marie Rousseau, carme du couvent de qu’un signe ?PĂšre Olivier-Marie Rousseau Le signe est une rĂ©alitĂ© visible qui renvoie Ă  une rĂ©alitĂ© invisible. Et l’homme, qui est Ă  la fois corporel et spirituel, en a besoin pour communiquer. Par exemple, la nature, par sa beautĂ©, sa variĂ©tĂ©, sa complexitĂ©, peut susciter un Ă©merveillement qui entraĂźne un questionnement jusqu’à la reconnaissance de l’existence d’un Dieu crĂ©ateur. Ce qui n’impose pas la foi mais dispose le cƓur Ă  l’adoration. C’est une attitude naturelle, qui n’est pas encore celle de la foi mais qui est nĂ©cessaire Ă  la foi. Car la grĂące ne supprime la l’ordre surnaturel, quels sont les signes qui peuvent susciter la foi ?Dans l’Évangile selon saint Jean, le premier signe que le Christ opĂšre est le miracle de Cana Ă  la demande de la Vierge Marie, il change l’eau en vin. Ainsi donne-t-Il un signe qui atteste que Dieu entend notre priĂšre et y rĂ©pond par surabondance le vin est meilleur ! Dieu est plus grand que notre cƓur, et au long de son ministĂšre public, le Christ multiplie les signes guĂ©risons, exorcismes, rĂ©surrections pour Ă©veiller cette confiance et nous conduire jusqu’au mystĂšre pascal, le signe par excellence sans lequel vaine est notre foi » 1Co 15, 17. Le Christ donne gratuitement, et attend une rĂ©ponse noces de CanaComment ?Quand JĂ©sus multiplie les pains Jn 6, 12-15, Il donne un signe de puissance qui sĂ©duit les foules au point qu’elles veulent Le faire roi ». Mais JĂ©sus leur Ă©chappe car Il ne veut pas se laisser rĂ©cupĂ©rer dans leurs catĂ©gories d’efficacitĂ©. Travaillez pour la nourriture qui demeure en vie Ă©ternelle », leur demande-t-Il, avant d’essuyer leur revers Quel signe fais-tu donc pour qu’à sa vue nous te croyions ? » Jn 6, 30. JĂ©sus rĂ©pond sans esquiver leur question mais en renversant leur logique Je suis le Pain de Vie » Jn 6, 35. Se donnant comme tel, Il propose aux disciples de passer de la rĂ©alitĂ© visible les pains qui remplissent les paniers au mystĂšre Pain de Vie » par lequel Il s’identifie. Mais c’est une parole trop rude » pour l’esprit, prĂ©cise l’Évangile les uns suivront, les autres d’autres signes, plus sensibles, plus accessibles ?À cĂŽtĂ© du sacrement de l’autel, il existe le sacrement du frĂšre, en particulier la diaconie des pauvres, nos maĂźtres » selon la belle expression de saint Vincent de Paul, signes de la pauvretĂ© de la CrĂšche et de la Croix, mais Ă  une condition que notre gĂ©nĂ©rositĂ© ne se rĂ©duise pas Ă  un simple engagement humanitaire. Quand je distribuerais tous mes biens aux pauvres, si je n’ai pas la charitĂ©, cela ne sert de rien » 1Co 13, 3. Pour que le signe sensible devienne significatif du Christ, il doit ĂȘtre mĂ» par la peut-Il intervenir directement dans notre vie ?Bien sĂ»r ! Par exemple une rencontre improbable qui change le cours de ma vie et ouvre des portes inattendues, sans volontarisme de ma part, ou une certitude intĂ©rieure qui s’impose et se rĂ©pĂšte pour lancer une initiative assez rĂ©aliste pour ne pas ĂȘtre le fruit de l’ discerner l’authenticitĂ© des signes de Dieu ?La marque de Dieu se reconnaĂźt Ă  ses fruits Gal 5, 22. Mais on ne peut ĂȘtre juge et partie, c’est pourquoi il est important d’ĂȘtre confirmĂ©. Saint Jean de la Croix y voit trois raisons vĂ©rifier la conformitĂ© des signes avec la parole de Dieu, s’en remettre Ă  un autre pour ne pas s’habituer Ă  la voie des sens » qui ne durera pas, et pour que l’ñme demeure dans l’humilitĂ©, la dĂ©pendance et la mortification ». En cheminant par nous-mĂȘme, nous pourrions nous enorgueillir d’ĂȘtre privilĂ©giĂ© par des signes. Un piĂšge spirituel se tromper Ă  ce point ?Si le cƓur n’a pas Ă©tĂ© Ă©duquĂ© aux vertus cardinales, purifiĂ© par l’exercice des vertus thĂ©ologales, nourri par la parole de Dieu et la pratique des sacrements, il risque d’ĂȘtre assujetti par ses passions, victime de carences affectives, prisonnier de systĂšmes compensatoires. Ce sont des dĂ©sordres qui nuisent Ă  l’exercice de la libertĂ© et peuvent pervertir les signes de Dieu, en se les appropriant Ă  sa guise, au lieu de se laisser conduire avec confiance. C’est lĂ  que tout se joue. Mais le DĂ©mon peut brouiller les signes, parasiter leur aussi PĂšre RenĂ©-Luc la parabole des Ă©toiles ou comment voir les signes de Dieu ?Lors des tentations du Christ au dĂ©sert Lc 4, 1-13, le DĂ©mon demande des signes – prodigieux, spectaculaires, Ă©clatants -, qui nient le rĂ©alisme de la condition humaine et exalte la toute-puissance. Afin de dĂ©tourner le Christ de son incarnation et de sa mission. Et nous-mĂȘmes, lorsque nous allons au dĂ©sert, par attraction de la priĂšre ou dans une solitude subie, nous ne sommes pas Ă  l’abri de ces tentations. Le dĂ©sert est l’espace des mirages, l’imaginaire s’y dĂ©veloppe sans butoirs, jusqu’à nous faire tomber dans l’orgueil ou le dĂ©sespoir si nous ne sommes pas dans une attitude d’adoration. Attitude oĂč la crĂ©ature se reconnaĂźt finie, pĂ©cheresse et dĂ©pendante de son attendre les signes de Dieu, ou faut-il les Lui demander ?On peut Lui en demander, mais en humilitĂ© de cƓur et pauvretĂ© d’esprit. Car Dieu n’enverra pas nĂ©cessairement le signe que nous attendons. Ou plus probablement, sa rĂ©ponse sera si surabondante qu’elle creusera en nous la conscience de notre extrĂȘme petitesse devant sa grandeur infinie. Dans sa divine pĂ©dagogie, Dieu nous mĂšne doucement et fermement, Il purifie notre cƓur avide et notre esprit aveugle qui veulent mettre la main » sur ses grĂąces, comme saint Pierre voulait planter sa tente sur le mont Thabor devant le Christ transfigurĂ©. Dieu nous appelle Ă  quitter les gras pĂąturages de la plaine pour monter vers des cimes plus arides mais plus pures, en nous dĂ©lestant peu Ă  peu de tout ce qui entrave notre union Ă  Lui. Ainsi, tous les saints ont connu des nuits spirituelles, que ce soit la nuit des sens, la nuit de l’esprit, la nuit de la foi. On le sait, Ă  la fin de sa vie, sainte ThĂ©rĂšse de l’Enfant-JĂ©sus allait jusqu’à se demander si le Ciel existait !Faut-il donc renoncer aux signes sensibles ?Oui, mais avec prudence. Quand nous en avons la grĂące, ces signes sont une voie par oĂč Dieu [nous] mĂšne, il n’y a pas lieu de le dĂ©daigner », rassure saint Jean de la Croix. Il serait donc prĂ©somptueux de les dĂ©nier mais aussi dangereux de s’y attacher ou de les rechercher pour eux-mĂȘmes. Je t’ai dĂ©jĂ  tout dit dans ma Parole qui est mon Fils, je n’ai maintenant plus rien Ă  te rĂ©vĂ©ler ou Ă  te rĂ©pondre qui soit plus que Lui », peut-on lire dans La MontĂ©e du Carmel du mĂȘme Jean de la Croix. Dans l’Ancienne Alliance, il convenait aux prophĂštes et aux prĂȘtres de dĂ©sirer des visions et des rĂ©vĂ©lations divines », continue le docteur de l’Église, car la foi n’était pas encore fondĂ©e ni la loi Ă©vangĂ©lique Ă©tablie. Mais dans le mystĂšre de l’Incarnation, tout est dit, tout est donnĂ©. Il nous a tout dit Ă  la fois et d’un seul coup en cette Parole ; Il n’a donc plus Ă  parler ».La saintetĂ© se passe-t-elle donc de signes ? Devant Dieu, une seule action, un seul acte de volontĂ© fait par charitĂ©, a plus de prix que toutes les visions, rĂ©vĂ©lations ou communications qui peuvent venir du Ciel », prĂ©cise saint Jean de la Croix. L’Église nous dispense les signes dont nous avons besoin, mais le Christ attend notre rĂ©ponse de foi, libre et sĂ»re, pour hĂąter son retour. Mais le Fils de l’homme, quand il viendra, trouvera-t-Il la foi sur terre ? » Mt 18, 8.Propos recueillis par Maryvonne Gasse
Parles paraboles, JĂ©sus appelle Ă  entrer dans le royaume. Elles sont comme des miroirs pour l’homme. Un miroir fait une projection de se que je suis et cela m’aide Ă  me transformer. Les miracles, les prodiges et les signes de JĂ©sus manifestent d’une autre façon que l Royaume de Dieu est prĂ©sent en jĂ©sus. ils tĂ©moignent que le PĂšre L’a envoyĂ©. Il n’y a pas de
7 signes que Dieu vous appelle au ministĂšre. Par Makko Musagara Dieu utilise de nombreuses façons de dire aux individus qu’il les appelle Ă  le servir. Beaucoup voient ces signes et sont confus de ne pas savoir quoi faire. D’autres ont tellement de doutes quant Ă  savoir si c’est vraiment Dieu qui leur parle. Ci-dessous, je vous donne 7 signes que Dieu vous appelle au ministĂšre. Dieu peut utiliser des rĂȘves. 5 Joseph eut un songe, et il le raconta Ă  ses frĂšres, qui le haĂŻrent encore davantage. 6 Il leur dit Ecoutez donc ce songe que j’ai eu! 7 Nous Ă©tions Ă  lier des gerbes au milieu des champs; et voici, ma gerbe se leva et se tint debout, et vos gerbes l’entourĂšrent et se prosternĂšrent devant elle. 8 Ses frĂšres lui dirent Est-ce que tu rĂ©gneras sur nous? Est-ce que tu nous gouverneras? Et ils le haĂŻrent encore davantage, Ă  cause de ses songes et Ă  cause de ses paroles. » GenĂšse 375-8 2. Dieu peut utiliser des visions. 3 Comme il Ă©tait en chemin, et qu’il approchait de Damas, tout Ă  coup une lumiĂšre venant du ciel resplendit autour de lui. 4 Il tomba par terre, et il entendit une voix qui lui disait Saul, Saul, pourquoi me persĂ©cutes-tu? 5 Il rĂ©pondit Qui es-tu, Seigneur? Et le Seigneur dit Je suis JĂ©sus que tu persĂ©cutes. [Il te serait dur de regimber contre les aiguillons. 6 Tremblant et saisi d’effroi, il dit Seigneur, que veux-tu que je fasse? Et le Seigneur lui dit] LĂšve-toi, entre dans la ville, et on te dira ce que tu dois faire.» Actes 93-6 3. Dieu peut utiliser ses prophĂštes Il y a de nombreuses annĂ©es, avant d’avoir pensĂ© Ă  commencer ce ministĂšre, j’étais Ă  l’arriĂšre d’une Ă©glise pleine Ă  craquer d’environ 1000 personnes. Alors que le service se dĂ©roulait, je suis restĂ© sans voix quand un prophĂšte de Dieu qui exerçait son ministĂšre Ă  la chaire qui Ă©tait Ă  environ 20 mĂštres a pointĂ© tout Ă  l’arriĂšre de la congrĂ©gation oĂč j’étais assis et a dit Vous homme assis Ă  l’arriĂšre lĂ -bas, Dieu vous appelle au ministĂšre . Comme la chaire Ă©tait loin, je pensais qu’il pointait peut-ĂȘtre mon voisin. Il m’a de nouveau montrĂ© du doigt mĂȘme en dĂ©crivant mon visage. Il a poursuivi Dieu vous appelle mais vous hĂ©sitez encore. Je vous vois avec un stylo Ă©crire, et Ă©crire, et Ă©crire. Commencez Ă  faire ce que Dieu vous a dit de faire maintenant » 4. Dieu peut utiliser son mot Rhema des Écritures. Au cours de mes premiĂšres annĂ©es de formation, partout oĂč je me sentais rĂ©ticent Ă  prier, Dieu me conduisait mystĂ©rieusement au livre de 2 Chroniques Chapitre 29. Le verset 11 me revenait toujours aux yeux 11 Maintenant, mes fils, cessez d’ĂȘtre nĂ©gligents; car vous avez Ă©tĂ© choisis par l’Eternel pour vous tenir Ă  son service devant lui, pour ĂȘtre ses serviteurs, et pour lui offrir des parfums. » 5. Vous pouvez avoir beaucoup de problĂšmes dans la vie Ă  cause de votre refus de rĂ©pondre Ă  l’appel de Dieu. La parole de l’Eternel fut adressĂ©e Ă  Jonas, fils d’AmitthaĂŻ, en ces mots 2 LĂšve-toi, va Ă  Ninive, la grande ville, et crie contre elle! car sa mĂ©chancetĂ© est montĂ©e jusqu’à moi. 3 Et Jonas se leva pour s’enfuir Ă  Tarsis, loin de la face de l’Eternel. Il descendit Ă  Japho, et il trouva un navire qui allait Ă  Tarsis; il paya le prix du transport, et s’embarqua pour aller avec les passagers Ă  Tarsis, loin de la face de l’Eternel. 4 Mais l’Eternel fit souffler sur la mer un vent impĂ©tueux, et il s’éleva sur la mer une grande tempĂȘte. Le navire menaçait de faire naufrage. 5 Les mariniers eurent peur, ils implorĂšrent chacun leur dieu, et ils jetĂšrent dans la mer les objets qui Ă©taient sur le navire, afin de le rendre plus lĂ©ger. Jonas descendit au fond du navire, se coucha, et s’endormit profondĂ©ment. » Jonas 11-5 6. Dieu peut vous envoyer ses messagers directement. Dieu a appelĂ© ma femme pour dĂ©marrer une Ă©glise dans son village rural oĂč elle est nĂ©e mais elle donnait toujours des excuses. Puis Dieu a commencĂ© Ă  envoyer des messagers dans sa boutique oĂč elle dirigeait ses affaires. Ils lui disaient Dieu vous dit que ce n’est pas ce qu’Il veut que vous fassiez. Allez crĂ©er une Ă©glise dans votre village d’origine » AprĂšs environ trois messagers, les affaires de ma femme se sont complĂštement effondrĂ©es. 7. Dieu peut vous appeler Ă  travers des miracles ou des Ă©vĂ©nements Ă©tranges. J’ai vu de nombreux mineurs de Dieu dont les ministĂšres ont commencĂ© aprĂšs avoir Ă©tĂ© miraculeusement guĂ©ris.
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